Dans l’optique d’améliorer la sécurité, la stabilité et la vitesse d’exécution de son navigateur, Google annonce que Chrome procédera au blocage par défaut de tous les plugins NPAPI (Netscape Plugin API) à partir de janvier 2015.
Le géant de la recherche vient de publier une feuille de route sur le retrait progressif de la prise en charge des plugins NPAPI dans Chrome, jusqu’à leur suppression complète du navigateur en septembre 2015.
Pour rappel, les API Netscape Plugin avaient été développés à l’origine pour le navigateur Netscape, avant d’être adoptés rapidement par les autres navigateurs. Avec l’évolution du Web et des navigateurs, son architecture qui repose sur les années 90 est devenue l’une des causes principales « de bogues, d'incidents de sécurité, et de complexité du code », selon Google.
Compte tenu du fait que les plugins NPAPI étaient encore utilisés par un nombre non négligeable d’internautes, Google avait opté en janvier 2014 pour un blocage des plugins NPAPI en dehors de ceux contenus dans une liste blanche, dont Silverlight (encore exécuté par 11% d’utilisateurs de Chrome le mois dernier), Google Talk (7%), Java (3,7%), Facebook Video (3%) ou encore Unity (2%).
À compter de janvier prochain, tous les plugins NPAPI seront bloqués par défaut, même ceux contenus dans la liste blanche. Les utilisateurs seront invités à autoriser manuellement l’exécution des plugins NPAPI pour les sites qui en ont besoin.
À partir d’avril 2015, Google désactivera par défaut le support de NPAPI dans Chrome et ne permettra plus la publication des plugins utilisant cette architecture dans le Chrome Web Store. Plus aucune autorisation ne sera demandée à l’utilisateur. Les plugins NPAPI ne fonctionneront plus.
Néanmoins, il sera toujours possible pour les utilisateurs avancés et les administrateurs de réactiver le support de NPAPI à partir d’une option de configuration ou via la politique de l’entreprise.
Ce sursis durera jusqu’en septembre 2015, date à laquelle Google mettra définitivement fin à la prise en charge de NPAPI dans son navigateur.
Source : Google
samedi 29 novembre 2014
Des milliers de webcams piratées par un site russe L'ICO invite à modifier ses habitudes en matière de sécurité
On ne le répètera jamais assez, mais utiliser des mots de passe faibles comporte des risques pour la sécurité de vos données. L’un des exemples de répercussions négatives que peut avoir une telle légèreté a été mis en exergue par l’Information Commissionner’s Office (ICO), un organisme indépendant chargé par le ministère de la justice britannique de faire remonter des informations d’intérêt public, de promouvoir l'ouverture par les organismes publics ainsi que de protéger les données des particuliers.
Selon cet organisme, depuis plusieurs semaines déjà, un site web basé en Russie fait diffuser en direct des images de webcam ainsi que celles de caméras de surveillance piratées dans de nombreux pays dans le monde. Parmi les dispositifs qui ont fait les frais de cette campagne de piratage figuraient aussi bien des systèmes de type CCTV filmant des lieux publics que des appareils réservés à un usage domestique, comme les moniteurs qui sont employés pour la surveillance des bébés. Au total, 125 pays ont été touchés ; plus de 2 000 caméras en ont été victimes en France, plus de 500 au Royaume-Uni, ou encore plus de 4 500 aux États-Unis, pour ne citer que ceux-là.
Concernant l’attaque, les pirates se sont connectés à ces dispositifs en utilisant l’identifiant et le mot de passe fournis par défaut. D’ailleurs, à cet effet, l’ICO rappelle que « quand vous commencez à utiliser votre caméra, un mot de passe par défaut, que vous devrez saisir afin de mettre le dispositif en marche, peut vous avoir été fourni. Il peut s’agir d’un espace vide ou de quelque chose d’aussi simple que ‘password’ ou ‘12345’, mais, même si ce n’est pas le cas, les mots de passe par défaut, que de nombreux fabricants vous fournissent, sont disponibles gratuitement en ligne, alors assurez-vous de les changer. Dans le cas où le dispositif n’a pas de mot de passe, alors la moindre des choses serait d’en définir un ».
Pour mieux expliquer comment cela fonctionne, l’ICO y va simplement : « la faculté d'accéder à vos séquences à distance représente à la fois un grand argument de vente des caméras Internet, mais aussi, si elle n’est pas configurée convenablement, sa plus grande faiblesse potentielle de sécurité. Rappelez-vous que, si vous pouvez accéder à vos séquences vidéo sur Internet alors qu'est-ce qui empêche quelqu'un d'autre de faire de même ? ».
Un guide de bonne pratique, pour mieux choisir ses mots de passe, est déjà disponible en ligne. Les autorités rappellent notamment quelques astuces simples, comme faire un mélange de minuscules et de majuscules et introduire des chiffres ainsi que des caractères spéciaux. L’ICO exhorte également les utilisateurs à prendre le temps de se familiariser avec les possibilités qu’offrent les caméras avant d’en finaliser l’installation, surtout en ce qui concerne l’accès à distance. L’ICO rappelle qu’il existe des logiciels capables de scanner internet à la recherche de dispositifs vulnérables et que, dans certains cas, les adresses IP de certaines caméras, présentant des failles dans la sécurité, peuvent être identifiées à partir d’une simple requête sur les moteurs de recherche.
L’ICO en profite pour vanter les mérites de l’authentification à deux facteurs lors de la connexion sur des services en ligne, qui fournit un niveau de sécurité d'un cran supérieur. « Nous avons tous besoin d’être conscients des menaces qui planent autour de nos informations personnelles. Cependant, les étapes basiques couvertes dans ce billet de blog sont celles que chacun de nous devrait avoir dans sa routine. Si vous ne le faites pas, alors vous laissez vos informations vulnérables, et personne n’aime être observé par un étranger », a conclu le gendarme britannique.
Source : ICO
Selon cet organisme, depuis plusieurs semaines déjà, un site web basé en Russie fait diffuser en direct des images de webcam ainsi que celles de caméras de surveillance piratées dans de nombreux pays dans le monde. Parmi les dispositifs qui ont fait les frais de cette campagne de piratage figuraient aussi bien des systèmes de type CCTV filmant des lieux publics que des appareils réservés à un usage domestique, comme les moniteurs qui sont employés pour la surveillance des bébés. Au total, 125 pays ont été touchés ; plus de 2 000 caméras en ont été victimes en France, plus de 500 au Royaume-Uni, ou encore plus de 4 500 aux États-Unis, pour ne citer que ceux-là.
Concernant l’attaque, les pirates se sont connectés à ces dispositifs en utilisant l’identifiant et le mot de passe fournis par défaut. D’ailleurs, à cet effet, l’ICO rappelle que « quand vous commencez à utiliser votre caméra, un mot de passe par défaut, que vous devrez saisir afin de mettre le dispositif en marche, peut vous avoir été fourni. Il peut s’agir d’un espace vide ou de quelque chose d’aussi simple que ‘password’ ou ‘12345’, mais, même si ce n’est pas le cas, les mots de passe par défaut, que de nombreux fabricants vous fournissent, sont disponibles gratuitement en ligne, alors assurez-vous de les changer. Dans le cas où le dispositif n’a pas de mot de passe, alors la moindre des choses serait d’en définir un ».
Pour mieux expliquer comment cela fonctionne, l’ICO y va simplement : « la faculté d'accéder à vos séquences à distance représente à la fois un grand argument de vente des caméras Internet, mais aussi, si elle n’est pas configurée convenablement, sa plus grande faiblesse potentielle de sécurité. Rappelez-vous que, si vous pouvez accéder à vos séquences vidéo sur Internet alors qu'est-ce qui empêche quelqu'un d'autre de faire de même ? ».
Un guide de bonne pratique, pour mieux choisir ses mots de passe, est déjà disponible en ligne. Les autorités rappellent notamment quelques astuces simples, comme faire un mélange de minuscules et de majuscules et introduire des chiffres ainsi que des caractères spéciaux. L’ICO exhorte également les utilisateurs à prendre le temps de se familiariser avec les possibilités qu’offrent les caméras avant d’en finaliser l’installation, surtout en ce qui concerne l’accès à distance. L’ICO rappelle qu’il existe des logiciels capables de scanner internet à la recherche de dispositifs vulnérables et que, dans certains cas, les adresses IP de certaines caméras, présentant des failles dans la sécurité, peuvent être identifiées à partir d’une simple requête sur les moteurs de recherche.
L’ICO en profite pour vanter les mérites de l’authentification à deux facteurs lors de la connexion sur des services en ligne, qui fournit un niveau de sécurité d'un cran supérieur. « Nous avons tous besoin d’être conscients des menaces qui planent autour de nos informations personnelles. Cependant, les étapes basiques couvertes dans ce billet de blog sont celles que chacun de nous devrait avoir dans sa routine. Si vous ne le faites pas, alors vous laissez vos informations vulnérables, et personne n’aime être observé par un étranger », a conclu le gendarme britannique.
Source : ICO
dimanche 12 octobre 2014
Canalys : Android équipe 81% des terminaux mobiles au premier trimestre Les écrans d'au moins 5 pouces constituent 34% du marché
Les chiffres publiés par le cabinet d’étude Canalys montrent que les ventes de smartphones enregistrent une progression annuelle de 29 %, se chiffrant ainsi à 279,4 millions d’unités au premier trimestre. Cependant, les ventes connaissent une baisse trimestrielle de 5 %.
Sur ces 279,4 millions d’unités, 97,5 millions ont été vendues uniquement en Chine, ce qui représente pratiquement 35 % du marché. Un pourcentage qui monte à 44 % du total quand on ajoute à la Chine les principaux pays émergents que sont l’Inde (troisième plus gros marché mondial avec 5 %), le Brésil (huitième plus gros marché mondial) et la Russie (dixième plus gros marché mondial).
Dans le détail, le marché est constitué à 81 % par Android. iOS récupérera 16 % des parts et Windows Phone devra se contenter de 3 %. En termes de constructeurs, Samsung est celui qui a le plus vendu de smartphones sur cette période, le Coréen étant crédité d'une part de marché de 31 %, soit près du double d'Apple (16 %). Canalys relève que les constructeurs locaux bénéficient toujours du patriotisme économique propre à l’Empire du Milieu. Avec son entrée, ce premier trimestre, dans le top 3 des plus gros vendeurs de téléphones en Chine, Xiaomi en est le meilleur exemple. D’ailleurs, il est devenu le sixième plus gros constructeur de téléphones au monde, alors même que 97 % de ses ventes ne sont réalisées que sur son propre territoire.
Selon Canalys, les ventes de téléphones dotés d’un écran de plus de 5 pouces ont connu une hausse de l’ordre de 369 %. Ces smartphones représentaient plus d’un tiers des ventes dans le monde sur la même période (34 %). Samsung s’octroie la part du lion, puisqu’il possède 44 % de parts de marché, notamment avec ses Galaxy Note, S5, Grand... « Les consommateurs s’attendent à ce que les appareils haut de gamme possèdent de larges écrans », affirme Jessica Kwee, analyste chez Canalyst. L’absence d’Apple sur le secteur laisse l’entreprise supposer qu’Apple sortira probablement dans les prochains mois un iPhone doté d’un écran d’au moins 5 pouces pour répondre à cette demande croissante.
Source : Canalys
Sur ces 279,4 millions d’unités, 97,5 millions ont été vendues uniquement en Chine, ce qui représente pratiquement 35 % du marché. Un pourcentage qui monte à 44 % du total quand on ajoute à la Chine les principaux pays émergents que sont l’Inde (troisième plus gros marché mondial avec 5 %), le Brésil (huitième plus gros marché mondial) et la Russie (dixième plus gros marché mondial).
Dans le détail, le marché est constitué à 81 % par Android. iOS récupérera 16 % des parts et Windows Phone devra se contenter de 3 %. En termes de constructeurs, Samsung est celui qui a le plus vendu de smartphones sur cette période, le Coréen étant crédité d'une part de marché de 31 %, soit près du double d'Apple (16 %). Canalys relève que les constructeurs locaux bénéficient toujours du patriotisme économique propre à l’Empire du Milieu. Avec son entrée, ce premier trimestre, dans le top 3 des plus gros vendeurs de téléphones en Chine, Xiaomi en est le meilleur exemple. D’ailleurs, il est devenu le sixième plus gros constructeur de téléphones au monde, alors même que 97 % de ses ventes ne sont réalisées que sur son propre territoire.
Selon Canalys, les ventes de téléphones dotés d’un écran de plus de 5 pouces ont connu une hausse de l’ordre de 369 %. Ces smartphones représentaient plus d’un tiers des ventes dans le monde sur la même période (34 %). Samsung s’octroie la part du lion, puisqu’il possède 44 % de parts de marché, notamment avec ses Galaxy Note, S5, Grand... « Les consommateurs s’attendent à ce que les appareils haut de gamme possèdent de larges écrans », affirme Jessica Kwee, analyste chez Canalyst. L’absence d’Apple sur le secteur laisse l’entreprise supposer qu’Apple sortira probablement dans les prochains mois un iPhone doté d’un écran d’au moins 5 pouces pour répondre à cette demande croissante.
Source : Canalys
Recap IT : HP et Symantec se découpent en 2, Convention USF 2014, IT Tour à Strasbourg
Vous avez manqué les principaux sujets de la semaine, pas de panique, voici un récapitulatif des actualités essentielles.
Après eBay, HP et Symantec ont annoncé à leur tour leur projet de se scinder en deux sociétés distinctes. D'abord à l'état de rumeur, la séparation des activités Entreprise avec celle de PC et Impression a en effet été confirmée officiellement par HP. Du côté de l'éditeur de sécurité Symantec, les choses se sont également accélérées avec l'annonce d'une réorganisation en deux sociétés distinctes.
Parmi les conférences qui ont marqué l'actualité IT cette semaine, on retiendra notamment la tenue de l'OVH Summit 2014 et la stratégie affichée de son PDG, Octave Klaba, de miser sur l'international pour accélérer son développement. A l'occasion de l'USF 2014, la convention des utilisateurs SAP francophones, son président, Claude Molly-Mitton, a quant à lui sonné l'alarme concernant les problématiques de déploiements des outils numériques. A l'USF 2014, un point a été fait sur les audits de licence qui enveniment les relations entre SAP et ses clients ainsi que sur la fracture numérique qui frappe les décideurs traditionnels. A quelques jours de l'ouverture de l'Open World Forum, Jacques Marzin, le directeur de la Disic, a par ailleurs fait un point sur la stratégie Open Source de l'Etat et l'actualité des déploiements en cours en la matière dans le secteur public.
Poursuivant son tour de France en régions, l'IT Tour de la rédaction du Monde Informatique s'est arrêtée cette semaine à Strasbourg : l'occasion de faire le point sur les projets en matière de sécurité, cloud, mobilité et systèmes d'impression managés au sein de Lilly France, de FM Logistic et du laboratoire de recherche iCube. France toujours avec l'ouverture du Mondial de l'Automobile qui se tient à Paris jusqu'au 19 octobre et qui a laissé entrevoir de nombreuses innovations, en particulier dans le domaine des technologies et services connectés.
Annoncé le 30 septembre, Windows 10 a de nouveau fait parler de lui avec la polémique autour de la version Technical Preview qui récupère des données sur l'environnement et les actions de l'utilisateur, mais également les propos de Satya Nadella, le CEO de Microsoft, confirmant que cet OS est taillé pour l'Internet des objets.
Les distributeurs automatiques de billets visés par un malware
Côté sécurité, l'actualité a été marquée cette semaine par la découverte d'une faille de sécurité permettant d'endommager n'importe quel périphérique USB, mais également du malware Tyupkin qui vide les distributeurs automatiques de billets. Sans oublier le botnet Qbot qui a infecté 500 000 PC à cause notamment d'une faille Windows XP. En France, un exercice interarmées de cyberdéfense baptisé Defnet 2014, a simulé une attaque des systèmes informatiques du pays.
Dans la mobilité, la firme de Cupertino a annoncé un événement le 16 octobre où il devrait lever le rideau sur ses prochaines tablettes iPad Air 2, dont un modèle de 12,9 pouces. Mobilité toujours avec Samsung qui a versé pas moins de 1 milliard de dollars à Microsoft pour utiliser ses brevets. Le constructeur coréen qui n'a d'ailleurs pas peur des dépenses pharaoniques en annonçant un programme d'investissement de 14,7 milliards de dollars pour sa prochaine usine de composants.
Sur la semaine écoulée en matière de big data, on retiendra enfin cette semaine Cloudera qui s'est installé en France avec des ambitions, mais également IBM qui a inauguré son QG Watson à New-York.
Après eBay, HP et Symantec ont annoncé à leur tour leur projet de se scinder en deux sociétés distinctes. D'abord à l'état de rumeur, la séparation des activités Entreprise avec celle de PC et Impression a en effet été confirmée officiellement par HP. Du côté de l'éditeur de sécurité Symantec, les choses se sont également accélérées avec l'annonce d'une réorganisation en deux sociétés distinctes.
Parmi les conférences qui ont marqué l'actualité IT cette semaine, on retiendra notamment la tenue de l'OVH Summit 2014 et la stratégie affichée de son PDG, Octave Klaba, de miser sur l'international pour accélérer son développement. A l'occasion de l'USF 2014, la convention des utilisateurs SAP francophones, son président, Claude Molly-Mitton, a quant à lui sonné l'alarme concernant les problématiques de déploiements des outils numériques. A l'USF 2014, un point a été fait sur les audits de licence qui enveniment les relations entre SAP et ses clients ainsi que sur la fracture numérique qui frappe les décideurs traditionnels. A quelques jours de l'ouverture de l'Open World Forum, Jacques Marzin, le directeur de la Disic, a par ailleurs fait un point sur la stratégie Open Source de l'Etat et l'actualité des déploiements en cours en la matière dans le secteur public.
Poursuivant son tour de France en régions, l'IT Tour de la rédaction du Monde Informatique s'est arrêtée cette semaine à Strasbourg : l'occasion de faire le point sur les projets en matière de sécurité, cloud, mobilité et systèmes d'impression managés au sein de Lilly France, de FM Logistic et du laboratoire de recherche iCube. France toujours avec l'ouverture du Mondial de l'Automobile qui se tient à Paris jusqu'au 19 octobre et qui a laissé entrevoir de nombreuses innovations, en particulier dans le domaine des technologies et services connectés.
Annoncé le 30 septembre, Windows 10 a de nouveau fait parler de lui avec la polémique autour de la version Technical Preview qui récupère des données sur l'environnement et les actions de l'utilisateur, mais également les propos de Satya Nadella, le CEO de Microsoft, confirmant que cet OS est taillé pour l'Internet des objets.
Les distributeurs automatiques de billets visés par un malware
Côté sécurité, l'actualité a été marquée cette semaine par la découverte d'une faille de sécurité permettant d'endommager n'importe quel périphérique USB, mais également du malware Tyupkin qui vide les distributeurs automatiques de billets. Sans oublier le botnet Qbot qui a infecté 500 000 PC à cause notamment d'une faille Windows XP. En France, un exercice interarmées de cyberdéfense baptisé Defnet 2014, a simulé une attaque des systèmes informatiques du pays.
Dans la mobilité, la firme de Cupertino a annoncé un événement le 16 octobre où il devrait lever le rideau sur ses prochaines tablettes iPad Air 2, dont un modèle de 12,9 pouces. Mobilité toujours avec Samsung qui a versé pas moins de 1 milliard de dollars à Microsoft pour utiliser ses brevets. Le constructeur coréen qui n'a d'ailleurs pas peur des dépenses pharaoniques en annonçant un programme d'investissement de 14,7 milliards de dollars pour sa prochaine usine de composants.
Sur la semaine écoulée en matière de big data, on retiendra enfin cette semaine Cloudera qui s'est installé en France avec des ambitions, mais également IBM qui a inauguré son QG Watson à New-York.
Application Windows 8.1
Testez s'il vous plait cette application et commenter
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lundi 6 octobre 2014
Windows 9 s'enrichit de Storage Sense et WiFi Sense
La build 9834 de Windows 9, qui représenterait une préversion mise à la disposition des partenaires de Microsoft, continue à livrer ses secrets.
Deux nouvelles fonctionnalités ont été découvertes dans cette version. Il s’agit des nouveaux Storage Sense et WiFi Sense.
La fonction Storage Sense devrait permettre aux utilisateurs de mieux gérer l’utilisation de l’espace de stockage par les applications. Sur une tablette, par exemple, qui dispose couramment d’un faible espace de stockage, l’installation des applications peut entraîner une occupation rapide de l’espace disque disponible. Grâce à Storage Sense, les utilisateurs pourront identifier les applications qui occupent le plus de place, et les déplacer sur un disque dur externe ou sur une carte SD.
Une fonctionnalité similaire est déjà disponible sur Windows Phone. Elle permet d’installer/déplacer des applications sur la carte SD, de procéder à la désinstallation des applications qui occupent trop de places, et de supprimer les fichiers liés à cette application.
Windows 9 s’enrichit également de la fonction Wi-Fi Sense qui a fait son apparition avec Windows Phone 8.1. Sur l’OS mobile, Wi-Fi Sense permet de se connecter automatiquement à une borne Wi-Fi publique ou encore de partager sa propre connexion avec des amis et contacts sans leur fournir le mot de passe. Il n’est pas encore certain que la fonctionnalité sur Windows 9 offre les mêmes caractéristiques que sur Windows Phone.
Quoi qu'il en soit, la disponibilité de ces deux fonctionnalités dans la version finale de Windows 9 devrait être d’une grande utilité, surtout pour les petits appareils comme les tablettes.
En outre, une seconde vidéo sur le menu Démarrer, qui fera son grand retour dans cette version, montre une autre caractéristique de cette fonctionnalité. Par défaut, le menu Démarrer affiche en plus les applications Modern UI. Si vous supprimez toutes ces applications, vous obtenez un menu Démarrer qui ressemble beaucoup plus au menu traditionnel, tel que sur Windows 9.
La préversion de Windows 9 pourrait être dévoilée le 30 septembre prochain par Microsoft.
Source : Winfuture
Deux nouvelles fonctionnalités ont été découvertes dans cette version. Il s’agit des nouveaux Storage Sense et WiFi Sense.
La fonction Storage Sense devrait permettre aux utilisateurs de mieux gérer l’utilisation de l’espace de stockage par les applications. Sur une tablette, par exemple, qui dispose couramment d’un faible espace de stockage, l’installation des applications peut entraîner une occupation rapide de l’espace disque disponible. Grâce à Storage Sense, les utilisateurs pourront identifier les applications qui occupent le plus de place, et les déplacer sur un disque dur externe ou sur une carte SD.
Une fonctionnalité similaire est déjà disponible sur Windows Phone. Elle permet d’installer/déplacer des applications sur la carte SD, de procéder à la désinstallation des applications qui occupent trop de places, et de supprimer les fichiers liés à cette application.
Windows 9 s’enrichit également de la fonction Wi-Fi Sense qui a fait son apparition avec Windows Phone 8.1. Sur l’OS mobile, Wi-Fi Sense permet de se connecter automatiquement à une borne Wi-Fi publique ou encore de partager sa propre connexion avec des amis et contacts sans leur fournir le mot de passe. Il n’est pas encore certain que la fonctionnalité sur Windows 9 offre les mêmes caractéristiques que sur Windows Phone.
Quoi qu'il en soit, la disponibilité de ces deux fonctionnalités dans la version finale de Windows 9 devrait être d’une grande utilité, surtout pour les petits appareils comme les tablettes.
En outre, une seconde vidéo sur le menu Démarrer, qui fera son grand retour dans cette version, montre une autre caractéristique de cette fonctionnalité. Par défaut, le menu Démarrer affiche en plus les applications Modern UI. Si vous supprimez toutes ces applications, vous obtenez un menu Démarrer qui ressemble beaucoup plus au menu traditionnel, tel que sur Windows 9.
La préversion de Windows 9 pourrait être dévoilée le 30 septembre prochain par Microsoft.
Source : Winfuture
lundi 8 septembre 2014
Quel avenir pour Internet et le web ? Le web serait-il en train de perdre ses principes fondateurs ?
En mars 1993, Sir Tim Berners-Lee réussit à convaincre le CERN (Organisation européenne pour la recherche nucléaire) d’adopter le World Wide Web (3W). En inventant le web, Sir Tim avait pour objectif de rendre simple et facile le partage de fichiers entre deux ordinateurs connectés. Le grand public a été rapidement conquis par les principes du 3W. Aujourd’hui, plus de 40% de la population mondiale est connectée à Internet, soit près de 3 milliards d'internautes dans le monde. Des chiffres qui confirment une véritable réussite d'Internet et en particulier celui du W3.
Idéalement, le principe fondamental du Web était de faciliter le partage d'informations entre les internautes, et ce, gratuitement. Le Web est utilisé pour faire des pétitions, pour faire valoir la volonté d'un peuple donné, pour lutter contre des faits, pour sauver des vies, etc. On se rappelle qu'en 2012, un Sud-Africain a été sauvé d'un kidnapping grâce à Twitter. Le Web, c'est également une technologie d'aide humanitaire. Par exemple, après le séisme d'Haïti, la société GeoEye a publié des images satellitaires des zones dévastées par le séisme sur le web sous une licence libre permettant à toute personne de pouvoir les utiliser. Ces images ont ensuite été utilisées par les secours sur Open Street Map pour rapidement retrouver les zones dévastées. Cet acte est une illustration de ce à quoi était promu le Web et son inventeur s'en réjouit.
Si le principe fondamental du 3W était un meilleur partage de connaissances, qu'en est-il aujourd'hui ?
Cependant, la navigation sur Internet est de nos jours monétisée. La plupart des sites internet font de la publicité intrusive ou ciblée, et les grands maîtres du domaine restent les réseaux sociaux (Facebook, Twitter, …) et Google. Tous ces géants du web ont donné une autre forme d'utilisation au web et il faut dire que c'est grâce à eux qu'Internet fait maintenant partie du quotidien de monsieur "Tout le monde". Une étude a même révélé que les mobinautes passent plus de 17% de leur temps sur Facebook. Le meilleur moyen de communiquer aujourd'hui reste donc les réseaux sociaux et aucune entreprise n'est plus en mesure de se passer de ce moyen de communication. Les géants du web en ont conscience et en profitent pour se remplir les poches.
De plus en plus de méfaits se font sur Internet par le biais du web. La vie privée des internautes est menacée ; les chiffres d'affaires de l'industrie de la pornographie croissent de jour en jour ; les entreprises prennent du plaisir à surveiller leurs employés sur le net. C'est notamment sur le web que l'on retrouve les plus grands propos racistes et les incitations à la violence. Les employés perdent un temps considérable sur les réseaux sociaux au lieu de travailler et cette situation provoque le plus souvent un « licenciement en ligne » de la part des employeurs. Rappelez-vous de la façon, dont Rakesh Agrawal, Directeur de la stratégie chez Paypal avait été licencié pour avoir critiqué ses collègues sur Twitter (voir image ci-dessous). La liberté d'expression semble être brimée, nombreux sont ces employés qui ont été licenciés pour avoir donné leurs points de vue sur des sujets donnés ou pour avoir critiqué.
La relativité des opinions n'existe presque plus sur Internet. L'Internaute doit désormais réfléchir maintes fois avant de donner son avis sur un sujet donné. Les publications sur le web se font désormais avec crainte. Il y a également la gestion des droits numériques (DRM) qui empêche un réel partage de connaissances sur Internet. Les menaces ont aussi pris de l'ampleur sur le Web. Souvenez-vous des nombreux comptes sociaux comme ceux de Skype ou encore de Forbes, qui avaient été détournés par l'armée électronique syrienne (SEA). En octobre dernier, un marocain de 17 ans avait été condamné pour trois mois de prison après avoir menacé Barack Obama de mort sur Twitter. Il fut accusé de « crime électronique ».
« Internet et les réseaux sociaux encouragent de plus en plus les gens à s'organiser, à agir et faire éclater au grand jour des méfaits commis aux quatre coins de la planète. Cela menace certains gouvernements et entraîne une augmentation de la surveillance et de la censure qui menace à son tour l'avenir de la démocratie » avait déclaré Tim Berners-Lee.
C'est grâce à Internet que le phénomène de cybercriminalité a pris de l'ampleur à tel point que nul n'est en mesure de suffisamment lutter contre. Les diverses révélations d'Edward Snowden au sujet de l'espionnage de masse de la NSA (retrouvez le dossier de la rédaction sur l'espionnage de la NSA) et celui du GCHQ en Angleterre ont ravivé les inquiétudes au sujet de la vie privée sur Internet à tel point que Tim Berners-Lee plaide pour un projet de loi pour les internautes. A l'occasion du 25e anniversaire du Web, Sir Tim avait déclaré : « à moins que nous ayons un Internet ouvert, neutre sur lequel nous pouvons compter sans nous soucier de ce qui se passe au niveau des backdoors, il ne pourrait y avoir un gouvernement ouvert, une bonne démocratie, une bonne santé et une communauté connectée ».
Que pensez-vous de l'actuelle utilisation d'Internet en général et du Web en particulier ?
Est-ce le chemin qui était prédéfini pour le Web ?
Un projet de loi pour les internautes résoudra-t-il le problème ?
Que faire pour avoir un Internet ouvert et conserver les principes fondamentaux du Web ?
Idéalement, le principe fondamental du Web était de faciliter le partage d'informations entre les internautes, et ce, gratuitement. Le Web est utilisé pour faire des pétitions, pour faire valoir la volonté d'un peuple donné, pour lutter contre des faits, pour sauver des vies, etc. On se rappelle qu'en 2012, un Sud-Africain a été sauvé d'un kidnapping grâce à Twitter. Le Web, c'est également une technologie d'aide humanitaire. Par exemple, après le séisme d'Haïti, la société GeoEye a publié des images satellitaires des zones dévastées par le séisme sur le web sous une licence libre permettant à toute personne de pouvoir les utiliser. Ces images ont ensuite été utilisées par les secours sur Open Street Map pour rapidement retrouver les zones dévastées. Cet acte est une illustration de ce à quoi était promu le Web et son inventeur s'en réjouit.
Si le principe fondamental du 3W était un meilleur partage de connaissances, qu'en est-il aujourd'hui ?
Cependant, la navigation sur Internet est de nos jours monétisée. La plupart des sites internet font de la publicité intrusive ou ciblée, et les grands maîtres du domaine restent les réseaux sociaux (Facebook, Twitter, …) et Google. Tous ces géants du web ont donné une autre forme d'utilisation au web et il faut dire que c'est grâce à eux qu'Internet fait maintenant partie du quotidien de monsieur "Tout le monde". Une étude a même révélé que les mobinautes passent plus de 17% de leur temps sur Facebook. Le meilleur moyen de communiquer aujourd'hui reste donc les réseaux sociaux et aucune entreprise n'est plus en mesure de se passer de ce moyen de communication. Les géants du web en ont conscience et en profitent pour se remplir les poches.
De plus en plus de méfaits se font sur Internet par le biais du web. La vie privée des internautes est menacée ; les chiffres d'affaires de l'industrie de la pornographie croissent de jour en jour ; les entreprises prennent du plaisir à surveiller leurs employés sur le net. C'est notamment sur le web que l'on retrouve les plus grands propos racistes et les incitations à la violence. Les employés perdent un temps considérable sur les réseaux sociaux au lieu de travailler et cette situation provoque le plus souvent un « licenciement en ligne » de la part des employeurs. Rappelez-vous de la façon, dont Rakesh Agrawal, Directeur de la stratégie chez Paypal avait été licencié pour avoir critiqué ses collègues sur Twitter (voir image ci-dessous). La liberté d'expression semble être brimée, nombreux sont ces employés qui ont été licenciés pour avoir donné leurs points de vue sur des sujets donnés ou pour avoir critiqué.
La relativité des opinions n'existe presque plus sur Internet. L'Internaute doit désormais réfléchir maintes fois avant de donner son avis sur un sujet donné. Les publications sur le web se font désormais avec crainte. Il y a également la gestion des droits numériques (DRM) qui empêche un réel partage de connaissances sur Internet. Les menaces ont aussi pris de l'ampleur sur le Web. Souvenez-vous des nombreux comptes sociaux comme ceux de Skype ou encore de Forbes, qui avaient été détournés par l'armée électronique syrienne (SEA). En octobre dernier, un marocain de 17 ans avait été condamné pour trois mois de prison après avoir menacé Barack Obama de mort sur Twitter. Il fut accusé de « crime électronique ».
« Internet et les réseaux sociaux encouragent de plus en plus les gens à s'organiser, à agir et faire éclater au grand jour des méfaits commis aux quatre coins de la planète. Cela menace certains gouvernements et entraîne une augmentation de la surveillance et de la censure qui menace à son tour l'avenir de la démocratie » avait déclaré Tim Berners-Lee.
C'est grâce à Internet que le phénomène de cybercriminalité a pris de l'ampleur à tel point que nul n'est en mesure de suffisamment lutter contre. Les diverses révélations d'Edward Snowden au sujet de l'espionnage de masse de la NSA (retrouvez le dossier de la rédaction sur l'espionnage de la NSA) et celui du GCHQ en Angleterre ont ravivé les inquiétudes au sujet de la vie privée sur Internet à tel point que Tim Berners-Lee plaide pour un projet de loi pour les internautes. A l'occasion du 25e anniversaire du Web, Sir Tim avait déclaré : « à moins que nous ayons un Internet ouvert, neutre sur lequel nous pouvons compter sans nous soucier de ce qui se passe au niveau des backdoors, il ne pourrait y avoir un gouvernement ouvert, une bonne démocratie, une bonne santé et une communauté connectée ».
Salaire des cadres : les informaticiens grands perdants en 2014 Avec une faible hausse de 0,7%
Le réseau de recrutement Expectra, filiale du groupe de services en ressources humaines Randstad France, vient de publier la douzième édition de son baromètre des salaires des cadres.
Dans un contexte morose où le salaire des cadres enregistre une timide progression, le secteur de l’informatique et des télécoms se distingue par l’une des plus faibles performances, entraînant un renversement total des tendances par rapport à 2013.
Alors que la moyenne des progressions tous secteurs confondus est évalué à 0,9%, le secteur de l’IT s’en sort avec une augmentation de seulement 0,7% et clôture le classement. Le secteur des Ressources Humaines affiche la meilleure progression moyenne de salaires (+1,51%).
Pourtant, en 2013, les ingénieurs de la filière IT (Informatique & Télécoms) s’étaient accaparés des trois premières places, réalisant au passage la meilleure revalorisation sectorielle, avec une augmentation de 1,8% par rapport à 2012.
Pour Expectra, cette faible progression reflète la croissance du chiffre d’affaires du secteur, attendue sur l’ensemble de l’année à seulement 1,1 %, selon les prévisions du Syntec numérique. L’architecte technique s’en sort le mieux avec une augmentation de salaire de 3,3 % pour un salaire médian de 44 610 euros. Cette fonction doit sa progression aux deux principaux enjeux relatifs au Cloud computing, l’accès optimisé aux données et la sécurité.
Cependant, suite à l’engouement de l’IT pour le Cloud, la mobilité et le Big Data, les développeurs, ainsi que les chefs de projet et consultants décisionnels positionnés sur ces segments réussissent néanmoins à tirer leur épingle du jeu. Si les salaires ne sont pas significativement en hausse pour ceux-ci, un grand nombre d’opportunités de recrutement s’offrent à eux, en hausse respective de 15 % et 10 %.
Pour réaliser son baromètre, Expectra s’est basé sur plus de 68 800 fiches de paie, représentant 117 qualifications, dont 60 fonctions-cadres et 57 fonctions ETAM (employés, techniciens et agents de maîtrise), sur les métiers de cinq grandes filières d'activité : l'informatique et les télécommunications, l'ingénierie et l'industrie, la comptabilité et la finance, les ressources humaines et le juridique et enfin les métiers du commercial et du marketing.
Source : Expectra
Et vous ?
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Dans un contexte morose où le salaire des cadres enregistre une timide progression, le secteur de l’informatique et des télécoms se distingue par l’une des plus faibles performances, entraînant un renversement total des tendances par rapport à 2013.
Alors que la moyenne des progressions tous secteurs confondus est évalué à 0,9%, le secteur de l’IT s’en sort avec une augmentation de seulement 0,7% et clôture le classement. Le secteur des Ressources Humaines affiche la meilleure progression moyenne de salaires (+1,51%).
Pourtant, en 2013, les ingénieurs de la filière IT (Informatique & Télécoms) s’étaient accaparés des trois premières places, réalisant au passage la meilleure revalorisation sectorielle, avec une augmentation de 1,8% par rapport à 2012.
Pour Expectra, cette faible progression reflète la croissance du chiffre d’affaires du secteur, attendue sur l’ensemble de l’année à seulement 1,1 %, selon les prévisions du Syntec numérique. L’architecte technique s’en sort le mieux avec une augmentation de salaire de 3,3 % pour un salaire médian de 44 610 euros. Cette fonction doit sa progression aux deux principaux enjeux relatifs au Cloud computing, l’accès optimisé aux données et la sécurité.
Cependant, suite à l’engouement de l’IT pour le Cloud, la mobilité et le Big Data, les développeurs, ainsi que les chefs de projet et consultants décisionnels positionnés sur ces segments réussissent néanmoins à tirer leur épingle du jeu. Si les salaires ne sont pas significativement en hausse pour ceux-ci, un grand nombre d’opportunités de recrutement s’offrent à eux, en hausse respective de 15 % et 10 %.
Pour réaliser son baromètre, Expectra s’est basé sur plus de 68 800 fiches de paie, représentant 117 qualifications, dont 60 fonctions-cadres et 57 fonctions ETAM (employés, techniciens et agents de maîtrise), sur les métiers de cinq grandes filières d'activité : l'informatique et les télécommunications, l'ingénierie et l'industrie, la comptabilité et la finance, les ressources humaines et le juridique et enfin les métiers du commercial et du marketing.
Source : Expectra
Et vous ?
Part de marché des OS : Windows XP baisse légèrement Tandis que Windows 8.x progresse
Net Applications et StatCounter, deux cabinets qui publient chaque mois des chiffres sur les parts de marché des systèmes d’exploitation à travers le monde, s’accordent sur un fait : Windows XP a perdu presque 1 % de part de marché au cours du mois d’aout.
Selon Net Applications, la part de marché de Windows XP est passée de 24,82 % en juillet à 23,89 % au mois d’aout, soit une perte de 0,93 point. À ce rythme, il faudra plus de deux ans au système d’exploitation pour disparaitre des radars de Net Applications. Du côté de StatCounter, l’OS est passé de 15,15 % de PDM à 14,29 %.
Depuis janvier 2014, Windows XP a perdu progressivement des utilisateurs, avec une part de marché qui est passée, d’après les chiffres de StatCounter, de 19,21 % à 14,29 % au mois d’aout 2014.
L’OS qui bénéficie de cette baisse est Windows 8. Après un mois de juillet où Windows 8.x a enregistré une légère baisse, le mois d’août s’annonce plus reluisant pour le système d’exploitation, qui voit sa part de marché passer de 12,48 % en juillet à 13,37 %, soit une hausse de 0,89 point, d’après Net Applications. Même son de cloche chez StatCounter, sauf que contrairement à Net Applications où Windows 8 et Windows 8.1 ont enregistré des gains, seul Windows 8.1 voit sa part passer de 7,45 % à 8,25 % en août, tandis que Windows 8 baisse de 0,18 point (avec une part de marché qui passe de 7,51 à 7,33 %). Le couple Windows 8.x se retrouve donc avec une progression de 0,62 %, selon StatCounter.
Windows 7, l’OS le plus populaire au monde, stagne littéralement et perd même 0,01 point sur le graphique de Net Applications, alors que du côté de StatCounter, on note une progression du système d’exploitation, dont la part de marché est passée de 55,33 % à 55,67 %.
En analysant les visites de Developpez.com, on constate que plusieurs développeurs et IT pro ont abandonné Windows XP, qui ne détient qu’une part de marché de 10,42%, derrière Windows 8.1 qui occupe la seconde place du classement avec part de 11,68%. Windows 8, quant à lui, ne détient qu’une part de 5,05% et Windows 7 domine largement avec une part de marché de 69,75%.
Les chiffres de Net Applications sont établis à partir de 160 millions de visiteurs uniques par mois pour 40 000 sites Web, tandis que ceux de StatCounter reposent sur près de 15 milliards de visites mensuelles de près de 3 millions de sites Web à travers le monde.
Sources : Net Applications, StatCounter
Microsoft, soupçonné d’infractions à la législation à la concurrence, fait l’objet d’une enquête antitrust en Chine. Les autorités chinoises avaient fait irruption dans quatre des bureaux de l’entreprise en juillet dernier pour procéder à des perquisitions. L’enquête avait été ouverte suite à plusieurs plaintes d'entreprises au sujet des problèmes de compatibilité dans Windows et Office, et de la large domination de Windows sur le marché chinois. Windows, à lui seul, représenterait près de 95 % de PDM en Chine. L’enquête avait par la suite été étendue le mois dernier au navigateur Internet Explorer et à Windows Media. L'Administration d'État pour l'industrie et le commerce (SAIC) reproche à Microsoft de n’avoir pas été transparent au niveau de la commercialisation de Windows et Office, et d’avoir proposé par défaut Internet Explorer et son lecteur multimédia dans son OS. L'organisme chinois de régulation de la concurrence a sommé Microsoft de s’expliquer par écrit sur le sujet, dans un délai de 20 jours. Si Microsoft invoque des raisons valables justifiant le besoin de dissimuler des informations ou de regrouper ses ventes de logiciels, son attitude ne pourra être qualifiée d’abus de position dominante, estime Wei Shilin, expert de l'Association des avocats de Beijing. « Microsoft pourrait justifier son comportement par des raisons de sécurité. Mais, au vu des enquêtes dans lesquelles le groupe a déjà été impliqué sur d'autres marchés, comme l'Union européenne, ces motifs ne semblent pas très convaincants », a expliqué Wei. Il faut noter que Microsoft a déjà fait l’objet d’une telle enquête en Europe, qui s’était soldée par une amende de 561 millions d'euros et la société avait été obligée de vendre des éditions de Windows qui offrent la possibilité à l’utilisateur de choisir son navigateur lors de l’installation de l’OS. Les relations entre Microsoft et la Chine sont tendues depuis plusieurs mois, notamment à cause du refus d’étendre le support de Windows XP par le géant américain pour la Chine, et l’interdiction de Windows 8 sur les PC du gouvernement. La Chine souhaite réduire sa dépendance de la firme et des géants de l’IT américains, en faveur de solutions locales. Source : SAIC Vous avez aimé cette actualité ? Alors partagez-la avec vos amis en cliquant sur les boutons ci-dessous :
Microsoft, soupçonné d’infractions à la législation à la concurrence, fait l’objet d’une enquête antitrust en Chine. Les autorités chinoises avaient fait irruption dans quatre des bureaux de l’entreprise en juillet dernier pour procéder à des perquisitions.
L’enquête avait été ouverte suite à plusieurs plaintes d'entreprises au sujet des problèmes de compatibilité dans Windows et Office, et de la large domination de Windows sur le marché chinois. Windows, à lui seul, représenterait près de 95 % de PDM en Chine. L’enquête avait par la suite été étendue le mois dernier au navigateur Internet Explorer et à Windows Media.
L'Administration d'État pour l'industrie et le commerce (SAIC) reproche à Microsoft de n’avoir pas été transparent au niveau de la commercialisation de Windows et Office, et d’avoir proposé par défaut Internet Explorer et son lecteur multimédia dans son OS.
L'organisme chinois de régulation de la concurrence a sommé Microsoft de s’expliquer par écrit sur le sujet, dans un délai de 20 jours.
Si Microsoft invoque des raisons valables justifiant le besoin de dissimuler des informations ou de regrouper ses ventes de logiciels, son attitude ne pourra être qualifiée d’abus de position dominante, estime Wei Shilin, expert de l'Association des avocats de Beijing. « Microsoft pourrait justifier son comportement par des raisons de sécurité. Mais, au vu des enquêtes dans lesquelles le groupe a déjà été impliqué sur d'autres marchés, comme l'Union européenne, ces motifs ne semblent pas très convaincants », a expliqué Wei.
Il faut noter que Microsoft a déjà fait l’objet d’une telle enquête en Europe, qui s’était soldée par une amende de 561 millions d'euros et la société avait été obligée de vendre des éditions de Windows qui offrent la possibilité à l’utilisateur de choisir son navigateur lors de l’installation de l’OS.
Les relations entre Microsoft et la Chine sont tendues depuis plusieurs mois, notamment à cause du refus d’étendre le support de Windows XP par le géant américain pour la Chine, et l’interdiction de Windows 8 sur les PC du gouvernement. La Chine souhaite réduire sa dépendance de la firme et des géants de l’IT américains, en faveur de solutions locales.
Source : SAIC
L’enquête avait été ouverte suite à plusieurs plaintes d'entreprises au sujet des problèmes de compatibilité dans Windows et Office, et de la large domination de Windows sur le marché chinois. Windows, à lui seul, représenterait près de 95 % de PDM en Chine. L’enquête avait par la suite été étendue le mois dernier au navigateur Internet Explorer et à Windows Media.
L'Administration d'État pour l'industrie et le commerce (SAIC) reproche à Microsoft de n’avoir pas été transparent au niveau de la commercialisation de Windows et Office, et d’avoir proposé par défaut Internet Explorer et son lecteur multimédia dans son OS.
L'organisme chinois de régulation de la concurrence a sommé Microsoft de s’expliquer par écrit sur le sujet, dans un délai de 20 jours.
Si Microsoft invoque des raisons valables justifiant le besoin de dissimuler des informations ou de regrouper ses ventes de logiciels, son attitude ne pourra être qualifiée d’abus de position dominante, estime Wei Shilin, expert de l'Association des avocats de Beijing. « Microsoft pourrait justifier son comportement par des raisons de sécurité. Mais, au vu des enquêtes dans lesquelles le groupe a déjà été impliqué sur d'autres marchés, comme l'Union européenne, ces motifs ne semblent pas très convaincants », a expliqué Wei.
Il faut noter que Microsoft a déjà fait l’objet d’une telle enquête en Europe, qui s’était soldée par une amende de 561 millions d'euros et la société avait été obligée de vendre des éditions de Windows qui offrent la possibilité à l’utilisateur de choisir son navigateur lors de l’installation de l’OS.
Les relations entre Microsoft et la Chine sont tendues depuis plusieurs mois, notamment à cause du refus d’étendre le support de Windows XP par le géant américain pour la Chine, et l’interdiction de Windows 8 sur les PC du gouvernement. La Chine souhaite réduire sa dépendance de la firme et des géants de l’IT américains, en faveur de solutions locales.
Source : SAIC
dimanche 6 juillet 2014
Microsoft propose jusqu'à 650 dollars de ristourne pour l'acquisition du Surface Pro 3 En échange d'un MacBook Air
Microsoft a lancé une campagne promotionnelle outre-Atlantique, qui
s’achèvera le 31 juillet 2014, pendant laquelle l’entreprise se propose
d’échanger un MacBook Air contre une ristourne ; jusqu’à 650 dollars de
ristourne pourra être accordée aux propriétaires d’ultrabook pour les
aider à migrer vers le Surface Pro 3. Les MacBook Air devront néanmoins
être fonctionnels, sans écrans brisés mais ne devront également pas
avoir subi de dégâts à cause de l’humidité. Notons que Microsoft limite
les transactions à une machine pour un achat : il n’est donc pas
possible de ramener plusieurs MacBook Air pour s’offrir un Surface Pro 3
et ainsi parvenir à ne pas débourser d'argent.
Et pour convaincre les plus sceptiques, Redmond a affiché un tableau comparatif entre le Surface Pro 3 et le MacBook Air sur de nombreuses catégories. Par exemple, Microsoft affirme que dans la catégorie « Déplacements/voyages », le Surface Pro 3 l’emporte de par le fait qu’il est bien plus fin et plus léger que le MacBook Air (1kg avec le clavier contre 1,34kg). Un autre plus serait dans la catégorie « ordinateur portable et tablette » où le Surface Pro 3 possède un clavier détachable et un écran tactile qui transforment aisément l’ordinateur en tablette tandis que le MacBook Air n’a ni écran tactile, ni clavier détachable.
Le Surface Pro est commercialisé à partir de 799 euros TTC pour la version 64 Go avec un processeur Intel Core i3 et 4 Go de RAM. Le modèle le plus cher coûte 1 549 euros TTC et possède 256 Go de mémoire avec un processeur Intel Core i7 ainsi que 8 Go de RAM. Bien entendu il faudra rajouter des accessoires comme le clavier à 129,99 euros TTC ou le stylet à 49,99 euros TTC.
Ce n’est pas la première fois que Microsoft effectue ce genre d’opérations : l’année dernière, en septembre 2013, Redmond avait proposé de rembourser jusqu’à 200 dollars aux détenteurs d'un iPad pour les aider à migrer vers la Surface RT et 200 dollars contre un iPhone. Pour l’instant son approche promotionnelle n’est pas déployée en Europe puisque l’offre n’est disponible que pour les magasins Microsoft américains, canadiens et portoricains.
Source : Microsoft (offre), Microsoft (comparaison), Microsoft (prix)
Et pour convaincre les plus sceptiques, Redmond a affiché un tableau comparatif entre le Surface Pro 3 et le MacBook Air sur de nombreuses catégories. Par exemple, Microsoft affirme que dans la catégorie « Déplacements/voyages », le Surface Pro 3 l’emporte de par le fait qu’il est bien plus fin et plus léger que le MacBook Air (1kg avec le clavier contre 1,34kg). Un autre plus serait dans la catégorie « ordinateur portable et tablette » où le Surface Pro 3 possède un clavier détachable et un écran tactile qui transforment aisément l’ordinateur en tablette tandis que le MacBook Air n’a ni écran tactile, ni clavier détachable.
Le Surface Pro est commercialisé à partir de 799 euros TTC pour la version 64 Go avec un processeur Intel Core i3 et 4 Go de RAM. Le modèle le plus cher coûte 1 549 euros TTC et possède 256 Go de mémoire avec un processeur Intel Core i7 ainsi que 8 Go de RAM. Bien entendu il faudra rajouter des accessoires comme le clavier à 129,99 euros TTC ou le stylet à 49,99 euros TTC.
Ce n’est pas la première fois que Microsoft effectue ce genre d’opérations : l’année dernière, en septembre 2013, Redmond avait proposé de rembourser jusqu’à 200 dollars aux détenteurs d'un iPad pour les aider à migrer vers la Surface RT et 200 dollars contre un iPhone. Pour l’instant son approche promotionnelle n’est pas déployée en Europe puisque l’offre n’est disponible que pour les magasins Microsoft américains, canadiens et portoricains.
Source : Microsoft (offre), Microsoft (comparaison), Microsoft (prix)
vendredi 20 juin 2014
Firefox 30 sort en version stable et désactive par défaut l'exécution des plugins La version Android également disponible
Mozilla met à la disposition des utilisateurs une nouvelle version de son navigateur Firefox. Contrairement à la version 29, qui était sortie avec un lot de nouveautés, notamment sa nouvelle interface utilisateur Australis, Firefox 30 représente une mise à jour mineure.
Tout comme Google avec Chrome, Mozilla prend également des distances avec les plugins qui représentent (ceux qui sont périmés) une « grande source de failles de sécurité » et viennent détériorer les performances du navigateur. De plus, selon Mozilla, avec l’évolution du Web, les plugins sont devenus « largement inutiles. »
Désormais, tous les plugins seront par défaut désactivés par le navigateur, à l’exception du plugin Flash qui restera activé, essentiellement à cause de sa forte utilisation sur le Web. Lorsqu’une page essayera d’exécuter un plugin, le navigateur affichera un message d’avertissement à l’utilisateur qui devra activer manuellement le plugin pour ce site.
Pour être exemptés de cette mesure, les développeurs devront faire figurer leurs plugins dans la liste blanche « Firefox Plugin Whitelist ». La liste sera remise à jour après 24 semaines.
L’unique modification visible au niveau de l’interface utilisateur est l’ajout d’un nouveau bouton, sur le côté, qui facilitera l’accès aux barres latérales relatives aux réseaux sociaux, aux marques pages et à l’historique. Les utilisateurs devront ajouter manuellement ce bouton à leur barre d’outils.
Firefox 30 introduit également le support de GStreamer 1.0, un framework multimédia open source qui permettra aux utilisateurs sous Linux d’accéder via le navigateur à la vidéo H.264 et aux fichiers audio MP3 et AAC.
Pour les développeurs, Firefox 30 prend en charge de nouveaux éléments HTML5 et CSS3. L’API WebAudio permet désormais de contrôler le volume indépendamment pour chaque fenêtre.
Firefox 30 est disponible en téléchargement pour Windows, Mac et Linux ou via la fonction de mise à jour automatique du navigateur.
Mozilla a publié parallèlement la version pour Android de son navigateur. Firefox 30 pour Android ajoute un bouton « QuickShare » au menu contextuel et un bouton « Feeds » pour ajouter du contenu Web aux panneaux de la page d’accueil. Il dispose également d’un correctif qui résout un problème de lecture des vidéos MP4.
Firefox 30 pour Android est téléchargeable sur le Play Store.
Télécharger Firefox 30 pour Desktop
Télécharger Firefox 30 pour Android
Source : notes de version
Tout comme Google avec Chrome, Mozilla prend également des distances avec les plugins qui représentent (ceux qui sont périmés) une « grande source de failles de sécurité » et viennent détériorer les performances du navigateur. De plus, selon Mozilla, avec l’évolution du Web, les plugins sont devenus « largement inutiles. »
Désormais, tous les plugins seront par défaut désactivés par le navigateur, à l’exception du plugin Flash qui restera activé, essentiellement à cause de sa forte utilisation sur le Web. Lorsqu’une page essayera d’exécuter un plugin, le navigateur affichera un message d’avertissement à l’utilisateur qui devra activer manuellement le plugin pour ce site.
Pour être exemptés de cette mesure, les développeurs devront faire figurer leurs plugins dans la liste blanche « Firefox Plugin Whitelist ». La liste sera remise à jour après 24 semaines.
L’unique modification visible au niveau de l’interface utilisateur est l’ajout d’un nouveau bouton, sur le côté, qui facilitera l’accès aux barres latérales relatives aux réseaux sociaux, aux marques pages et à l’historique. Les utilisateurs devront ajouter manuellement ce bouton à leur barre d’outils.
Firefox 30 introduit également le support de GStreamer 1.0, un framework multimédia open source qui permettra aux utilisateurs sous Linux d’accéder via le navigateur à la vidéo H.264 et aux fichiers audio MP3 et AAC.
Pour les développeurs, Firefox 30 prend en charge de nouveaux éléments HTML5 et CSS3. L’API WebAudio permet désormais de contrôler le volume indépendamment pour chaque fenêtre.
Firefox 30 est disponible en téléchargement pour Windows, Mac et Linux ou via la fonction de mise à jour automatique du navigateur.
Mozilla a publié parallèlement la version pour Android de son navigateur. Firefox 30 pour Android ajoute un bouton « QuickShare » au menu contextuel et un bouton « Feeds » pour ajouter du contenu Web aux panneaux de la page d’accueil. Il dispose également d’un correctif qui résout un problème de lecture des vidéos MP4.
Firefox 30 pour Android est téléchargeable sur le Play Store.
Source : notes de version
dimanche 20 avril 2014
Des premières images de Firefox OS 2.0 dévoilées ? Les captures d'écran suggèrent une grande influence d'Android et iOS
Deux membres de la communauté Mozilla, en l’occurrence l’autrichien Sören Hentzschel et le tunisien Ahmed Nefzaoui, ont publié sur internet des images de la version 2.0 de Firefox OS 2.0 alors même que la version actuellement proposée est la 1.3, la mouture 1.4 devant être publiée incessamment.
Ces captures d’écran rappelleront à certains l’influence d’Android (à l’instar de certains éléments graphiques comme le clavier virtuel ou les préférences blanches sur fond noir) et à d’autres celle d’iOS.

Les captures d’écran suggèrent que Firefox OS 2.0 inclurait le support de la fonction copier-coller, un nouveau mécanisme de lancement des applications et de commutation entre eux, un écran plus utile de verrouillage qui affichera une liste de notifications et permettra le contrôle de la musique, un système de localisation de son téléphone, et plus encore. De quoi rendre le système plus compétitif.
La nouvelle version de l’OS devra également être plus réactif aux commandes effectuées par le touché ; de quoi satisfaire des clients qui se sont plaint du décalage entre un geste du doigt et la réponse de l’appareil.
Source : blog Sören Hentzschel
Ces captures d’écran rappelleront à certains l’influence d’Android (à l’instar de certains éléments graphiques comme le clavier virtuel ou les préférences blanches sur fond noir) et à d’autres celle d’iOS.
Les captures d’écran suggèrent que Firefox OS 2.0 inclurait le support de la fonction copier-coller, un nouveau mécanisme de lancement des applications et de commutation entre eux, un écran plus utile de verrouillage qui affichera une liste de notifications et permettra le contrôle de la musique, un système de localisation de son téléphone, et plus encore. De quoi rendre le système plus compétitif.
La nouvelle version de l’OS devra également être plus réactif aux commandes effectuées par le touché ; de quoi satisfaire des clients qui se sont plaint du décalage entre un geste du doigt et la réponse de l’appareil.
Source : blog Sören Hentzschel
WIMBoot : une nouvelle option d'installation de Windows 8.1 Sur les appareils possédant un faible espace de stockage
Windows 8.1 update 1 est disponible au grand public. Quelques jours après son lancement officiel, Microsoft dévoile une nouvelle manière d’installer son OS. Il s’agit de WIMBoot (Windows Image Boot) qui optimise la gestion de l’espace de stockage.
WIMBoot n’extrait pas tous les fichiers de l’image Windows avant de procéder à l’installation comme le feraient les procédés traditionnels. Toutefois, l’utilisateur ne le constate pas et continue de voir dans son interface, le volume C avec le système Windows, les applications et toutes les données.
Concernant le procédé, il suffit de copier le fichier WIM d’environ 3Go dans une autre partition d’image, comme on le ferait pour une image de récupération, et de créer des fichiers de pointeurs à partir du volume C au moyen de DISM.
À la fin de ces deux étapes, on a une configuration de disque qui ressemble à l’image ci-dessous :
On se demande quel est l’avantage de l’utilisation de WIMBoot par rapport aux autres procédés. Si par exemple, on considère un appareil possédant un espace de stockage de 16 Go avec le fichier WIM d’environ 3 Go de capacité, après l’installation, on pourrait se retrouver à seulement 7 Go d’espace disque libre sur les 16 Go et sans avoir défini une image de récupération distincte. Avec WIMBoot, on a plus de 12 Go d’espace libre et peu de « frais généraux » supplémentaires. Par ailleurs, le même fichier WIM pourra être utilisé comme une image de récupération au cas où on souhaiterait revenir à l’état d’origine de l’ordinateur.
Pour plus de détails sur WIMBoot, consultez le billet de blog décrivant WIMBoot.
WIMBoot n’extrait pas tous les fichiers de l’image Windows avant de procéder à l’installation comme le feraient les procédés traditionnels. Toutefois, l’utilisateur ne le constate pas et continue de voir dans son interface, le volume C avec le système Windows, les applications et toutes les données.
Concernant le procédé, il suffit de copier le fichier WIM d’environ 3Go dans une autre partition d’image, comme on le ferait pour une image de récupération, et de créer des fichiers de pointeurs à partir du volume C au moyen de DISM.
À la fin de ces deux étapes, on a une configuration de disque qui ressemble à l’image ci-dessous :
On se demande quel est l’avantage de l’utilisation de WIMBoot par rapport aux autres procédés. Si par exemple, on considère un appareil possédant un espace de stockage de 16 Go avec le fichier WIM d’environ 3 Go de capacité, après l’installation, on pourrait se retrouver à seulement 7 Go d’espace disque libre sur les 16 Go et sans avoir défini une image de récupération distincte. Avec WIMBoot, on a plus de 12 Go d’espace libre et peu de « frais généraux » supplémentaires. Par ailleurs, le même fichier WIM pourra être utilisé comme une image de récupération au cas où on souhaiterait revenir à l’état d’origine de l’ordinateur.
Pour plus de détails sur WIMBoot, consultez le billet de blog décrivant WIMBoot.
L'iPhone 6 pourrait coûter 100 dollars de plus que son prédécesseur
Comme avant le lancement de chaque iPhone, Apple serait déjà en train de négocier avec les opérateurs et ferait même pression pour que ses partenaires revoient à la hausse le prix de base du téléphone. « Nos dernières vérifications indiquent qu’Apple a commencé à négocier avec les opérateurs en vue d’une augmentation du prix de l’iPhone 6 de l’ordre de 100$ » indique Peter Misek, analyste pour le compte de la firme d’investissements bancaires Jefferies, au quotidien Investor.
Pour justifier sa demande, Apple avance la qualité optimale de son smartphone. Dans un contexte où les analystes estiment que le marché du haut de gamme est saturé et où les constructeurs s’intéressent de plus en plus à l’entrée de gamme, l’idée peut sembler prétentieuse. Cependant, Apple cherche clairement à établir une nouvelle frontière avec le haut de gamme de la concurrence avec un segment encore plus exclusif que par le passé.
« La réponse initiale a été non, mais il semblerait y avoir une certaine admission (par des entreprises Wireless) qu’il n’y aura pas de dispositif qui changera la donne cette année. Nous pensons qu’Apple sera en mesure d’obtenir au moins une partie de l’augmentation demandée en plus des coûts additionnels répartis entre les transporteurs et les consommateurs » a expliqué Misek.
Cependant le modèle de l’iPhone 6 concerné n’a pas été précisé. Pour rappel, Apple proposera deux modèles comme avec l’iPhone 5 ; une version 4,7 pouces et une version 5,5 pouces. Précisons que cette inflation ne concernerait à priori que les offres avec abonnement. Pour l’instant, Apple n’a pas envisagé d’augmenter les prix de vente de l’iPhone en magasin.
Les résultats du dernier trimestre de son année fiscale ont indiqué que près de 52 % de ses revenus provenaient de la vente d’iPhone. Un bon moyen donc pour la firme de maintenir ses marges
Source : Investor
Pour justifier sa demande, Apple avance la qualité optimale de son smartphone. Dans un contexte où les analystes estiment que le marché du haut de gamme est saturé et où les constructeurs s’intéressent de plus en plus à l’entrée de gamme, l’idée peut sembler prétentieuse. Cependant, Apple cherche clairement à établir une nouvelle frontière avec le haut de gamme de la concurrence avec un segment encore plus exclusif que par le passé.
« La réponse initiale a été non, mais il semblerait y avoir une certaine admission (par des entreprises Wireless) qu’il n’y aura pas de dispositif qui changera la donne cette année. Nous pensons qu’Apple sera en mesure d’obtenir au moins une partie de l’augmentation demandée en plus des coûts additionnels répartis entre les transporteurs et les consommateurs » a expliqué Misek.
Cependant le modèle de l’iPhone 6 concerné n’a pas été précisé. Pour rappel, Apple proposera deux modèles comme avec l’iPhone 5 ; une version 4,7 pouces et une version 5,5 pouces. Précisons que cette inflation ne concernerait à priori que les offres avec abonnement. Pour l’instant, Apple n’a pas envisagé d’augmenter les prix de vente de l’iPhone en magasin.
Les résultats du dernier trimestre de son année fiscale ont indiqué que près de 52 % de ses revenus provenaient de la vente d’iPhone. Un bon moyen donc pour la firme de maintenir ses marges
Source : Investor
Visual Studio : 13 extensions pour vous donner l'envie de faire le développement web sous l'EDI Allez-vous les utiliser ?
Un développeur du nom de Mads Kristensen, présente 13 extensions pour donner l’envie aux développeurs web d’utiliser la suite de développement de Microsoft, Visual Studio. Le but ultime de ces extensions est de faciliter la vie aux développeurs web.
Les inconditionnels de Grunt ne seront pas déçus. La suite des extensions contient GruntLauncher, qui permet d’exécuter les tâches de Grunt depuis l’explorateur de solution de Visual Studio.
Pour les développeurs PHP, l’extension PHPTools est un impératif. Il apporte notamment le débogueur, la navigation dans le code source, l’Intellisense et bien d’autres fonctionnalités pour rendre le développement PHP agréable.
L’extension NTVS (Node Tools for Visual Studio) va donner le sourire aux développeurs Node.js. Elle transforme Visual Studio en un IDE convivial pour les projets Node.js.
Pour les projets CSS, deux extensions sont disponibles. Mexedge StyleSheet et CssCop-FxCop apporteront tout le nécessaire pour les projets CSS. La première extension permet d’intégrer le « document outline » du projet CSS directement dans Visual Studio, alors que la seconde permet d’exécuter CssLint directement depuis l’EDI de Microsoft.
La visualisation des informations de routage ASP.NET se fait via l’extension Gobisi Routing Assistant. Il permet de faire une correspondance entre une URL et une entrée de route.
Le « Unit-testing » pour les projets JavaScript n’a pas été oublié. Les développeurs qui utilisent Lua pour cette tâche seront ravis. L’extension Lua Test Adapter intègre Lua directement dans l’explorateur de test de Visual Studio.
La création des webJobs sous Azure est plus simple. L’extension WebJobsVS donne la possibilité de créer une application console C# et l’utiliser par la suite comme WebJobs pour Azure.
Transformer rapidement et simplement les fichiers app.config ou tout autre fichiers XML est faisable grâce à l’extension SlowCheetah-XML transforms.
Web Essentials est l’extension maintenue par une grande communauté Open Source, qui ajoute de nombreuses fonctionnalités à Visual Studio comme, les compilateurs LESS, Sass, CoffeeScript, ou encore la création de sprite et bien d’autres.
Des templates pour les projets Angular.js, Nancy Fx, les extensions de Chrome, sont fournis par l’extension SideWaffle.
Jasmine, QUnit et Mocha s’intègrent à Visual Studio grâce à l’extension Chutzpah Test Adapter, qui donne la possibilité d’utiliser ces solutions en ligne de commande ou encore à l’intérieur même de Visual Studio.
Pour plus de contrôle, l’extension File Nesting offre la possibilité de regrouper les fichiers de l’explorateur de solution de l’EDI de Microsoft à sa convenance.
Source: Blog Kristensen
Les inconditionnels de Grunt ne seront pas déçus. La suite des extensions contient GruntLauncher, qui permet d’exécuter les tâches de Grunt depuis l’explorateur de solution de Visual Studio.
Pour les développeurs PHP, l’extension PHPTools est un impératif. Il apporte notamment le débogueur, la navigation dans le code source, l’Intellisense et bien d’autres fonctionnalités pour rendre le développement PHP agréable.
L’extension NTVS (Node Tools for Visual Studio) va donner le sourire aux développeurs Node.js. Elle transforme Visual Studio en un IDE convivial pour les projets Node.js.
Pour les projets CSS, deux extensions sont disponibles. Mexedge StyleSheet et CssCop-FxCop apporteront tout le nécessaire pour les projets CSS. La première extension permet d’intégrer le « document outline » du projet CSS directement dans Visual Studio, alors que la seconde permet d’exécuter CssLint directement depuis l’EDI de Microsoft.
La visualisation des informations de routage ASP.NET se fait via l’extension Gobisi Routing Assistant. Il permet de faire une correspondance entre une URL et une entrée de route.
Le « Unit-testing » pour les projets JavaScript n’a pas été oublié. Les développeurs qui utilisent Lua pour cette tâche seront ravis. L’extension Lua Test Adapter intègre Lua directement dans l’explorateur de test de Visual Studio.
La création des webJobs sous Azure est plus simple. L’extension WebJobsVS donne la possibilité de créer une application console C# et l’utiliser par la suite comme WebJobs pour Azure.
Transformer rapidement et simplement les fichiers app.config ou tout autre fichiers XML est faisable grâce à l’extension SlowCheetah-XML transforms.
Web Essentials est l’extension maintenue par une grande communauté Open Source, qui ajoute de nombreuses fonctionnalités à Visual Studio comme, les compilateurs LESS, Sass, CoffeeScript, ou encore la création de sprite et bien d’autres.
Des templates pour les projets Angular.js, Nancy Fx, les extensions de Chrome, sont fournis par l’extension SideWaffle.
Jasmine, QUnit et Mocha s’intègrent à Visual Studio grâce à l’extension Chutzpah Test Adapter, qui donne la possibilité d’utiliser ces solutions en ligne de commande ou encore à l’intérieur même de Visual Studio.
Pour plus de contrôle, l’extension File Nesting offre la possibilité de regrouper les fichiers de l’explorateur de solution de l’EDI de Microsoft à sa convenance.
Source: Blog Kristensen
samedi 5 avril 2014
MOAI, un framework Open Source pour rapidement développer des jeux vidéo mobiles Passe en version 1.5
MOAI est un framework Open Source permettant un développement rapide de jeux mobiles. Avec MOAI, vous pouvez travailler en Lua ou en C++ afin de réaliser un jeu compatible iOS, Android, Chrome, Windows, Mac et Linux. C'est après plus d'une année de silence que le framework revient sur le devant de la scène et propose une version estampillée 1.5. Celle-ci apporte de nombreuses améliorations, dont la transition complète à CMake, l'utilisation de luajit et bien sûr, des corrections de bogues.
Voici la liste exposant les changements principaux :
Fusion de fonctionnalité de Zipline :
Un nouveau système de compilation :
Fonctionnalité additionnelles :
Corrections :
Vous pouvez retrouver la documentation de MOAI dans un wiki et le code source sur GitHub. La licence utilisée est CPAL.
Votre opinion ?
Quel est votre framework préféré pour le développement mobiles ?
Avez-vous utilisé MOAI ? Comptez-vous l'utiliser ?
Que recherchez-vous dans un tel framework ?
Source
Site officiel
Voici la liste exposant les changements principaux :
Fusion de fonctionnalité de Zipline :
- refonte massive du ramassage miettes et simplification du suivi des objets ;
- refonte des modules AKU ;
- nouvel hôte SDL pour compléter l'hôte GLUT ;
- indicateur pour MOAIAction afin de désactiver l'arrêt lorsqu'il n'y a pas d'enfant.
Un nouveau système de compilation :
- le système de compilation CMake (originalement que supporté sous Linux et BlackBerry) a été étendu à toutes les plateformes ;
- support de Luajit pour toutes les plateformes (à travers les scripts CMake) ;
- des scripts create-project-* ont été créés pour permettre de générer les fichiers de projets vs2008->vs2013 et Xcode ;
- les changements d'un projet peuvent être enregistrés dans le script CMake approprié et toutes les plateformes devraient fonctionner ;
- support de plugin pour l'installation de module en dehors du SDK MOAI ;
- support des hôtes personnalisés ;
- support de la compilation avec Ming-w64 pour une expérience complètement Open Source sur Windows (plus de dépendance à vcruntime).
Fonctionnalité additionnelles :
- pathfinding Vector (MOAIVecPathGraph) ;
- exposition du lancer de rayon Box2D ;
- support twitter pour Android ;
- amélioration de MOAIShader avec une matrice 4 x 4 et l'accès à UNIFORM_WORLD_VIEW ;
- un hôte plus rapide avec le support du clavier ;
- MOAISafariIOS est devenu MOAIBrowserIOS et ajout de MOAIBrowserAndroid ;
- la visibilité peut maintenant être héritée !
- services Google Play ;
- mise à jour de Tapjoy et Vungle ;
- support de showCursor et hideCursor dans MOAISim ;
- amélioration des documentations ;
- support de Chartboost pour IOS et Android
- vous pouvez maintenant rajouter des événements joysticks à partir de l'hôte ;
- nouvel hôte HTML/JS basé sur emscripten.
Corrections :
- support du log réparé sur Android ;
- le VFS fonctionne sur toutes les plateformes ;
- correction d'un dépassement de tampon de la pile Lua ;
- corrections de l'analyseur et encodeur JSON ;
- calculs des boîtes de textes corrigés ;
- support PVR fonctionnel.
Vous pouvez retrouver la documentation de MOAI dans un wiki et le code source sur GitHub. La licence utilisée est CPAL.
Votre opinion ?
Source
Site officiel
Larry Ellison rachète Developpez.com Le fondateur d'Oracle séduit par le succès du site d'informations numéro 1 pour les développeurs francophones
Le succès croissant de Developpez.com, le club des développeurs et IT pro, n’a pas manqué d’attirer l’attention du fondateur d’Oracle Larry Ellison, qui a pu trouver un accord avec les responsables de Developpez.com.
Lancé en 1999, Developpez.com a au fil du temps conquis le cœur des millions de passionnés de l’informatique. Le site compte à ce jour :
Ce succès repose en grande partie sur sa communauté de bénévoles, qui n'a cessé de redoubler d’ardeur pour faire de Developpez.com ce qu’il est aujourd’hui.
Plusieurs lecteurs doivent être probablement inquiets en ce qui concerne l’avenir de leur site IT favori, d’autant plus que les produits open source comme MySQL ou encore OpenOffice.org, après leur acquisition par Oracle suite au rachat de Sun, ont connu une période tumultueuse avec la communauté open source.
Soyez rassuré, Developpez.com restera toujours ouvert, entre les mains de sa communauté et sans publicité intrusive. Nous tenons à signaler que le rachat est effectué par le PDG d’Oracle, et non la société, avec pour unique but de voir le club « des développeurs et IT pro » s’agrandir encore plus.
Lancé en 1999, Developpez.com a au fil du temps conquis le cœur des millions de passionnés de l’informatique. Le site compte à ce jour :
- 120 rubriques ;
- plus de 220 000 visites par jour ;
- 2,5 millions de lecteurs distincts par mois ;
- Nombre de forums/sous forums : 1826 ;
- Nombre d'inscrits : 754 685 ;
- un forum recevant plus de 5 000 messages par jour ;
- plus de 1000 auteurs.
Ce succès repose en grande partie sur sa communauté de bénévoles, qui n'a cessé de redoubler d’ardeur pour faire de Developpez.com ce qu’il est aujourd’hui.
Plusieurs lecteurs doivent être probablement inquiets en ce qui concerne l’avenir de leur site IT favori, d’autant plus que les produits open source comme MySQL ou encore OpenOffice.org, après leur acquisition par Oracle suite au rachat de Sun, ont connu une période tumultueuse avec la communauté open source.
Soyez rassuré, Developpez.com restera toujours ouvert, entre les mains de sa communauté et sans publicité intrusive. Nous tenons à signaler que le rachat est effectué par le PDG d’Oracle, et non la société, avec pour unique but de voir le club « des développeurs et IT pro » s’agrandir encore plus.
Microsoft demeure le numéro 1 dans le secteur du logiciel Oracle occupe la seconde position au détriment d'IBM, selon Gartner
Le cabinet d’analyse Gartner vient de publier son classement annuel des éditeurs de logiciels pour l’année 2013.
Microsoft conserve son trône de numéro un, avec un chiffre d’affaires d’environ 65,7 milliards de dollars. Oracle se fait remarquer en reléguant IBM en troisième position, avec un chiffre d’affaires de 29,6 milliards de dollars. IBM ferme le top trois avec 29,1 milliards de dollars.
« C’est la première fois dans le classement mondial de Gartner des éditeurs de logiciels qu’Oracle occupe la seconde place avec un chiffre d’affaires de 29,6 milliards de dollars, et une part de marché mondiale de 7,3% », explique Chad Eschinger, vice-président de la recherche chez Gartner.
La firme de Larry Ellison bénéficie de cette position grâce à la montée en puissance du « Big data » et du Cloud, qui a poussé les entreprises à investir dans les bases de données et les applications Cloud, des secteurs sur lesquels Oracle est bien positionné.
L’éditeur des solutions Cloud Salesforce.com enregistre le plus fort taux de croissance (33,3 %) au cours de l’année 2013. La société ferme le top 10 du classement mondial, avec un chiffre d’affaires de 3,8 milliards de dollars, contre 2,9 milliards de dollars il y a un an. La société est suivie par VMware (14,1%) et SAP (9,5 %), qui occupe la quatrième place du classement mondial.
Adobe sort du top 10, et occupe désormais la 11e position du classement de Gartner.
Globalement, le chiffre d’affaires réalisé par le secteur du logiciel en 2013 s’élève à 407,3 milliards de dollars, en croissance de 4,8 % par rapport à l’année 2012 (388,5 milliards de dollars de recettes), selon Gartner.
L’essor du SaaS et son modèle d’abonnement ont eu un impact important sur les habitudes d’achats des logiciels. « Pour la première fois, un fournisseur SaaS (N.D.L.R : Salesforce.com) a pu se retrouver en 10e position du classement », explique Gartner, qui estime que si IBM et Adobe réussissent à offrir leurs solutions via le Cloud, elles pourraient retrouver leur précédente place.
Source : Communiqué de presse Gartner
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