WIMBoot n’extrait pas tous les fichiers de l’image Windows avant de procéder à l’installation comme le feraient les procédés traditionnels. Toutefois, l’utilisateur ne le constate pas et continue de voir dans son interface, le volume C avec le système Windows, les applications et toutes les données.
Concernant le procédé, il suffit de copier le fichier WIM d’environ 3Go dans une autre partition d’image, comme on le ferait pour une image de récupération, et de créer des fichiers de pointeurs à partir du volume C au moyen de DISM.
À la fin de ces deux étapes, on a une configuration de disque qui ressemble à l’image ci-dessous :
On se demande quel est l’avantage de l’utilisation de WIMBoot par rapport aux autres procédés. Si par exemple, on considère un appareil possédant un espace de stockage de 16 Go avec le fichier WIM d’environ 3 Go de capacité, après l’installation, on pourrait se retrouver à seulement 7 Go d’espace disque libre sur les 16 Go et sans avoir défini une image de récupération distincte. Avec WIMBoot, on a plus de 12 Go d’espace libre et peu de « frais généraux » supplémentaires. Par ailleurs, le même fichier WIM pourra être utilisé comme une image de récupération au cas où on souhaiterait revenir à l’état d’origine de l’ordinateur.
Pour plus de détails sur WIMBoot, consultez le billet de blog décrivant WIMBoot.
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