jeudi 30 janvier 2014

Intel annonce le double support d'OS sur ses processeurs Le passage de Windows à Android et vice-versa se fera par une simple pression d'un bouton

Autrefois leader incontesté du marché des processeurs, Intel fait face à une énorme concurrence des fabricants des puces ARM, qui se partagent la juteuse manne qu’est le marché des tablettes.

Pour se démarquer, Intel fait des infidélités à son partenaire historique Microsoft, avec lequel il a largement dominé le marché du PC, qui s’essouffle face aux nouveaux appareils mobiles adulés par les consommateurs.

Lors du CES 2014, la grande messe dédiée à l’électronique grand public, le fondeur a annoncé le lancement d’une nouvelle génération de plateforme « Dual OS ».

Concrètement, le projet « double système d’exploitation » d’Intel vise à développer des périphériques qui combinent « le meilleur des systèmes d’exploitation Windows et Android » dans un seul appareil.

Intel envisage également de proposer une norme de commutation entre les OS. Lors du CES, l’entreprise a fait une démonstration ou avec une simple pression d’un bouton, il était possible de passer d’un OS à un autre en quelques secondes.


Cette nouvelle gamme de dispositifs porterait le nom de « PC Plus ». Plusieurs constructeurs travailleraient déjà sur la conception de tels appareils. Asus a été le premier à dévoiler son terminal double OS lors du CES. Le Transformer Book Duet est un ordinateur hybride (PC portable et tablette) Windows/Android, qui dispose d’un processeur Intel Core i3, i5 ou i7, 4 Go de RAM ainsi que 128 Go de stockage SSD. L’appareil fonctionne sous Windows 8.1 et Android 4.2.2.

Avec cette fonction Dual OS, les utilisateurs pourront profiter des outils de productivité de Windows 8.1, couplés aux applications de divertissement d’Android. Une option qui ne pourra que les séduire et doper les ventes des puces Intel ?

Source : via Gizmodo

samedi 25 janvier 2014

Intel annonce le double support d'OS sur ses processeurs Le passage de Windows à Android et vice-versa se fera par une simple pression d'un bouton

Autrefois leader incontesté du marché des processeurs, Intel fait face à une énorme concurrence des fabricants des puces ARM, qui se partagent la juteuse manne qu’est le marché des tablettes.

Pour se démarquer, Intel fait des infidélités à son partenaire historique Microsoft, avec lequel il a largement dominé le marché du PC, qui s’essouffle face aux nouveaux appareils mobiles adulés par les consommateurs.

Lors du CES 2014, la grande messe dédiée à l’électronique grand public, le fondeur a annoncé le lancement d’une nouvelle génération de plateforme « Dual OS ».

Concrètement, le projet « double système d’exploitation » d’Intel vise à développer des périphériques qui combinent « le meilleur des systèmes d’exploitation Windows et Android » dans un seul appareil.

Intel envisage également de proposer une norme de commutation entre les OS. Lors du CES, l’entreprise a fait une démonstration ou avec une simple pression d’un bouton, il était possible de passer d’un OS à un autre en quelques secondes.


Cette nouvelle gamme de dispositifs porterait le nom de « PC Plus ». Plusieurs constructeurs travailleraient déjà sur la conception de tels appareils. Asus a été le premier à dévoiler son terminal double OS lors du CES. Le Transformer Book Duet est un ordinateur hybride (PC portable et tablette) Windows/Android, qui dispose d’un processeur Intel Core i3, i5 ou i7, 4 Go de RAM ainsi que 128 Go de stockage SSD. L’appareil fonctionne sous Windows 8.1 et Android 4.2.2.

Avec cette fonction Dual OS, les utilisateurs pourront profiter des outils de productivité de Windows 8.1, couplés aux applications de divertissement d’Android. Une option qui ne pourra que les séduire et doper les ventes des puces Intel ?

Source : via Gizmodo

COTED'IVOIRE: Actualisation du schéma directeur de la gouvernance électronique Un impératif, selon Bruno Nabagné KONE.


Le séminaire d’actualisation du schéma directeur de la gouvernance électronique (e-gouv), débuté le 17 décembre dernier à l’hôtel des parlementaires de Yamoussoukro, a pris fin ce vendredi 20 décembre 2013, avec la cérémonie de restitution des travaux et la remise officielle du document stratégique au Ministre de la Poste et des Technologies de l'Information et de la Communication, Porte-parole du Gouvernement, Bruno Nabagné KONE.
Ce projet d’actualisation a pour objectif principal de mettre en phase le plan d’action issu du schéma directeur de la gouvernance électronique avec celui du Cadre Stratégique de la Réforme Administrative (CRSA) et le Plan National de développement (PND).
Dans leurs mots de bienvenue respectifs, les représentants du Maire et du Gouverneur du District Autonome de Yamoussoukro, se sont dits heureux d’accueillir ce séminaire, souhaitant que les résultats des travaux aident à l’amélioration de l’action gouvernementale.
Monsieur Oumar KONATE, Coordonnateur National du Projet de Gouvernance Electronique, a salué les acteurs du cadre de collaboration dudit projet que sont le Ministère de la Fonction Publique et de la Réforme Administrative, le Bureau National d’Etudes Techniques et de Développement (BNETD), la Société Nationale de Développement Informatique (SNDI) et le Centre d’Information et de Communication Gouvernementale (CICG) pour leur engagement dans la mise en œuvre des instructions du Premier Ministre Daniel KABLAN DUNCAN, Président du comité de pilotage de la gouvernance électronique.
Il a souhaité que les projets retenus par les différentes commissions contribuent à mener la Côte d’Ivoire à l’émergence en 2020.
Pour Monsieur N’datien GUIBESSONGUI, Président du Comité Scientifique du séminaire, pendant trois mois, les experts ont d’abord fait un bilan-diagnostic du projet, de sa vision et de ses orientations et ont identifié les scénarios d’exécution. Ils ont aussi procédé à l’élaboration d’un plan actions et de financement et enfin, ils ont émis des recommandations.
Monsieur Ibrahim LOKPO, Directeur Général de la Réforme Administrative représentant le Ministre de la Fonction Publique et de la Réforme Administrative, a rendu hommage aux Ministres Gnamien KONAN et Bruno Nabagné KONE pour leur sens élevé du devoir mais surtout pour avoir très vite perçu la nécessité de moderniser l’administration par le biais des TIC. Il a ensuite évoqué le rôle central et complémentaire des deux ministres dans la mise en œuvre du projet de gouvernance électronique qui vise à moderniser l’administration et à doter la Côte d’Ivoire d’un service publique performant.
Selon Monsieur Bruno Nabagné KONE, Ministre de la Poste et des Technologies de l'Information et de la Communication et Porte-parole du Gouvernement, la tenue de ce séminaire s’imposait simplement pour une question de cohérence. En effet, face à la faible maturité numérique de notre pays et au grand retard accumulé dans le domaine des TIC, la prise de décisions énergiques et responsables s’imposaient. D’où l’élaboration du schéma directeur de la gouvernance électronique validé par le gouvernement en mars 2012. Ce schéma directeur a précédé le Plan National de Développement (PND) et le Cadre Stratégique de la Réforme Administrative (CSRA). Pour le ministre, « il était donc devenu impérieux d’une part de mettre en phase les orientations du PND avec le plan d’action du schéma directeur de la gouvernance électronique et d’autre part, de mettre en cohérence le plan d’action du schéma directeur de la gouvernance électronique et celui du CSRA ». L’actualisation du schéma directeur de la gouvernance électronique offre, selon lui, un cadre d’analyse et de concertation globale impliquant à la fois les partenaires techniques et financiers. Elle prend en compte les perspectives d’évolution du projet, la cohérence globale de la stratégie de mise en œuvre des actions et projets TIC communs de l’administration et l’évolution technologique.
Le document du schéma directeur de la gouvernance électronique qui a été officiellement remis au Ministre Bruno Nabagné KONE, est très attendu par le gouvernement en ce sens qu’il contribuera à l’optimisation de la politique nationale de développement des TIC.

Source : Service Communication MPTIC 

COTE D'IVOIRE: Nouveau régime fiscal du secteur des TIC André APETE, Directeur de Cabinet au MPTIC : « les prix ne devraient pas augmenter »


Les coûts des services de télécommunications/TIC ne devraient connaître d’augmentation après l’aménagement du régime fiscal des entreprises du secteur. C’est ce qui ressort du point de presse animé au 21ème étage de l’immeuble Postel 2001, par André APETE, Directeur de Cabinet du Ministère de la Poste et des Technologies de l'Information et de la Communication, ce jeudi 23 janvier 2014. Devant la presse, il a expliqué la mesure par la nécessité pour l’Etat de Côte d’Ivoire de se conformer aux accords et directives communautaires en vigueur dans l’espace CEDEAO/UEMOA. Le secteur des télécommunications/TIC étant en constante croissance et générant de fortes marges bénéficiaires, il apparait nécessaire qu’il contribue au financement du développement. Selon André APETE, demander aux opérateurs de souscrire en bons du trésor permettra à ces derniers de faire des profits, dans la mesure où il ne s’agit que de prêts avec intérêts.
Pour finir, il a  tenu à préciser qu’en matière de taxation du secteur, la Côte d’Ivoire n’a pas encore atteint le niveau de certains pays de la sous-région.

Plus de 1000 nouveaux noms de domaine disponibles Après huit années de batailles, ICANN obtient gain de cause

Plus de 1000 nouveaux noms de domaine disponibles
Après huit années de batailles, ICANN obtient gain de cause

Le domaine .com est incontestablement celui ayant séduit le plus de monde à nos jours. Plus de 100 Millions de site web ont été conquis par ce nom de domaine.
Mais cette hégémonie risque de recevoir un sacré coup de mou avec l'avènement de nouveaux noms, fruit des huit années de bataille du groupe à but non lucratif Internet Corporation for Assigned Names and Number (ICANN). Fini donc les noms de domaine conventionnels .org, .net, .ca (celui du canada), .com, l'utilisateur aura désormais le choix parmi un plus grand panel allant du plus fantaisistes aux plus absurdes comme .hello (salut), .tattoo (tatouage), .plumbing (plomberie), .clothing (vêtement).

« Nous avons juste simplement étiré les noms disponibles » se félicite d'ailleurs Cyrus Namazi, Vice- Président de l’engagement de l’industrie d’ICANN à Politico. Selon lui, les entreprises ne se retrouvaient plus avec les noms de domaine voulus. Il y a toujours quelque chose à couper ou à modifier avec les .com et .net. Il était donc plus que nécessaire d’élargir l’offre de générique de noms de domaine de premier niveau (gTLD).

Cette nouvelle liste de 1000 noms de domaine qui vient s'ajouter aux 20 noms déjà existants, offre une plus grande possibilité en prenant compte par exemple des noms spécifiques à la localisation (.london), la langue, le sport (.football) ou la marque telle que (.nike et .cadillac). Cette nouvelle trouvaille qu'on pourrait qualifier de révolutionnaire constitue la plus grande expansion d’Internet depuis 20 ans mais les sondages de Politico montrent que beaucoup ignorent encore les changements imminents.

Selon les analystes, le potentiel pour les entreprises de bénéficier de ces nouveaux noms est grand. Dans le même temps, d’autres particuliers sont plus intéressés par les noms de domaines comiques et inhabituels tels que : .ninja, .beer (bière), ou .pizza. Certaines entreprises se félicitent d'ailleurs déjà sur Twitter de leurs nouveaux noms de domaine ou encore ceux qu’elles espèrent figurer sur la liste des nouveaux noms.

Cette nouvelle liste favorise beaucoup plus les entreprises commerciales. Ces nouveaux noms de domaines participeront largement à la promotion des entreprises et de leurs produits. Beaucoup d’entreprises ont d’ailleurs déjà exprimé leur joie à travers les réseaux sociaux.

Source : CBC News Blogs

John McAfee « éternellement reconnaissant » à Intel d'avoir renommé McAfee Antivirus « la fin d'une association terrible » pour celui-ci

John McAfee « éternellement reconnaissant » à Intel d’avoir renommé McAfee Antivirus
« la fin d’une association terrible » pour celui-ci 

Les utilisateurs ont été longtemps confrontés à des bouffonneries, tels que des images de son inventeur torse nu, provenant du logiciel Antivirus McAfee, soit en voulant faire une mise-à-jour soit en voulant demander de l’aide en ligne.

Conscient de la colère des utilisateurs et voulant reconquérir sa part de marché, Intel a décidé de changer le nom du fameux Antivirus McAfee en "Intel Security". Au moins avec un nouveau nom, les utilisateurs ne pourront plus faire une liaison avec le crazy-boy John McAfee.

John McAfee est le père de McAfee comme on peut le constater à travers les noms. Il l’a inventé en 1987 puis l’abandonna en 1994. Intel le racheta en 2010 au prix de 7,7 Milliards de dollars.


C’est au cours des présentations au CES 2014 à Las Vegas, que l’annonce de transition de nom a été faite par le CEO d’Intel, Brian Krzanich. Cette transition pourrait prendre une année pour aboutir et ne concerne que le nom.

John McAfee n'est pas resté sans mot face à l'annonce de Brian. Il est d’ailleurs très ravis de cette décision prise par Intel: "Je suis maintenant éternellement reconnaissant à Intel de me libérer de cette association terrible, le pire logiciel sur la planète. Ce ne sont pas mes mots, mais les mots de millions d'utilisateurs en colère" déclare-t-il sur BBC.

Les utilisateurs peuvent maintenant utiliser McAfee sans perturbation. Ils peuvent dire : au revoir les bouffonneries de John McAfee.

John McAfee travaillerait actuellement sur un projet visant à protéger les utilisateurs contre les espionnages des agents de renseignements tels que la NSA.

Source : BBC News

ROBO MOD02 TOP04 v2

Google devrait-il avoir peur de CyanogenMod ? La version 11.0 M2 du fork d'Android est préinstallée sur les smartphones N1 du Chinois Oppo

Cela fait pratiquement 5 ans aujourd’hui qu’un hacker fan de Linux, au pseudonyme de JesusFreke, développa pour le HTC Dream les prémices d’un système d’exploitation mobile qui allait devenir par la suite une ROM non officielle (CyanogenMod) du populaire Android. C’était en 2008.

De 2008 à nos jours, CyanogenMod s’est grandement amélioré. Le fork d’Android est compatible avec de nombreux périphériques sur le marché. Sa popularité s’en va sans cesse grandissante, ce qui ne laisse pas indifférent le géant de Mountain View.

Le rythme de sortie de CyanogenMod est rigoureusement calqué sur celui d’Android. À chaque version d’Android, correspondent une ou plusieurs versions de CyanogenMod. La dernière en date est basée sur le tout nouveau Kitkat, et se nomme CyanogenMod 11.0 M2.

CyanogenMod 11.0 M2, tout comme les autres versions, est personnalisable à l’extrême et abandonne certains services Google ancrés dans Android. Il offre la possibilité de modifier le thème du système, de déplacer les « Toggles » dans la barre de notification, l’overclocking et bien d’autres possibilités que n’offrent pas les versions officielles d’Android.

La CyanogenMod team a travaillé d'arrache-pied et CyanogenMod 11.0 M2 est compatible avec plus de 65 périphériques mobiles au total.

Par ailleurs, le constructeur chinois Oppo proposera ses smartphones N1 avec CyanogenMod préinstallé au lieu d’une version officielle d’Android. Une première. D’autres constructeurs lui emboîteront-ils le pas ?

 Télécharger CyanogenMod 11.0 M2

Source : CyanogenMod

vendredi 24 janvier 2014

Existe-t-il parmi nous des voyageurs dans le temps ? Deux physiciens s'essaient à la chasse de ces personnes

Posséder le temps, le manipuler à sa guise, c’est là l’un des plus grands rêves de l’humanité. Les travaux d’Albert Einstein ont démontré que le temps n’est pas constant comme on pourrait le croire mais qu’il se dilate. Sa mesure est dépendante du référentiel dans lequel un événement s’est produit.

Les voyages spatiaux temporels sont-ils possibles ? Existe-t-il parmi le commun des mortels des personnes qui viendraient de notre futur ? Même si beaucoup de fictions connues à ce jour prônent la véracité du voyage dans le temps, la réalité est toute autre.

C’est pour répondre à ces questions que deux chercheurs du département de physique de l’université du Michigan Technological University ont réalisé quelques petites expériences dont le but final était de mettre en évidence la présence de voyageurs dans le temps. Ils ne se sont pas encombrés d'un appareillage complexe ; à la place, ils se sont servis du puissant outil de recherche qu’est devenu internet.

Le principe des expériences est simple. S’il existe des voyageurs dans le temps, alors la probabilité qu’ils aient effectué une recherche ou encore fait un « post » sur les réseaux sociaux d’un événement avant sa réalisation effective est non nulle.

Les physiciens ont retenu les mots Pape François (vraiment imprévisible comme nom de Pape, vu la nomenclature adoptée jusqu’aujourd’hui), comète Ison et bien d’autres, et ont effectué des recherches pour savoir s’ils avaient été mentionnés quelque part sur internet avant la réalisation des évènements qui leur sont associés.

Ils ont cherché en vain. Cependant, ils tiennent néanmoins à préciser que le résultat de leur expérience ne contredit en rien la possibilité de voyage dans le temps. Une des raisons évoquées serait que les voyageurs du temps soient des personnes timides qui voudraient jalousement garder leurs petits secrets.

Qui sait ? Peut-être que s’ils avaient procédé avec une annonce du genre « Voyageurs dans le temps, si vous êtes effectivement présents, identifiez-vous contre très forte récompense », peut-être que certains d’entre eux auraient alors brisé la règle d’or du silence ? 

Source : rapport de recherche PDF

Edison : un PC de la taille d'une carte SD Par Inte

Edison : un PC de la taille d'une carte SD par Intel

Le Raspberry Pi a toujours été considéré comme le plus petit des microordinateurs existants. Au-delà de toute pensée, Intel a présenté, lors du CES 2014 à Las Vegas, son tout nouveau microordinateur nommé Edison. La taille de ce dernier n’est rien d’autre que celle d’une carte SD. Edison est dans son intégralité basé sur Linux.


Edison est basé sur la puce Quark du constructeur, une puce de faible puissance x86 32 bits lancée l’an dernier. Quark était destiné aux technologies mobiles mais a été longuement éclipsée par son principal rival, le processeur Cortex-M par ARM utilisé dans les smartphones Apple et Android.

Edison se veut puissant et efficace. Il intègre les technologies Bluetooth 4.0 intelligent et Wi-Fi pour une large connectivité avec peu de mémoire LPDDR2 et un stockage flash.

"[Les processeurs] portables ne sont pas partout aujourd'hui, car ils ne résolvent pas encore de vrais problèmes et ils ne sont pas encore intégrés à nos modes de vie" déclare le CEO d’Intel. Mais il affirme qu’ils "se concentrent pour relever le défi de l’innovation de l’ingénierie. Si quelque chose calcule et se connecte, qu’il le fasse mieux avec Intel à l’intérieur".

Alors, pour promouvoir Edison, Intel a lancé un défi aux développeurs. Un défi qui consiste à construire des technologies basées sur Edison. Plus de 1 million de dollars sont mis en jeu dont 500000 pour le premier prix.

jeudi 23 janvier 2014

La Côte d’Ivoire pourrait de se voir attribuer le titre de capitale des brouteurs, plus connus ailleurs comme des Cybercriminels.

« Lorsque nous discutons avec nos collègues d’autres pays, nous notons qu’aucun d’eux n’ont reçu autant de plaintes que nous » a annoncé Stephane Konan, chef de laPlateforme de Lutte contre la Cybercriminalité (PLCC) a un reporter de BBC.
Quand on sait, comme l’annonce le média britannique, que ces arnaqueurs peuvent toucher jusqu’à 6 000 000 Fcfa par mois, soit plus de 100 fois le salaire moyen ivoirien, il n’est pas difficile de comprendre pourquoi le business de l’arnaque en ligne y est florissant.
Ces hors-la-loi 2.0 ont en moyenne 16 ou 17 ans et ont déjà soutiré plus de 15 millions de dollars à des victimes principalement localisées en France, en Côte d’Ivoire, en Belgique ou au Canada.
africa 277x300 LEtat ivoirien réussira t il à tondre lherbe sous le nez des brouteurs?La Côte d’Ivoire a pris la décision de régler le problème en lançant, il y a deux ans, la PLCCqui est la première cellule de son genre sur le continent africain. 100 arrestations ont eu lieu durant l’année passée et la loi contre la cyber-criminalité, votée en mai dernier qui promet jusqu’à 20 ans de prison aux personnes jugées coupables, devrait servir à décourager des jeunes sans emplois qui seraient tentés de se lancer dans le broutage.
D’autres initiatives servant à sécuriser la toile africaine devraient voir le jour dans le reste du continent durant les années à venir. Déjà, le Nigeria, longtemps considéré comme le vivier des malfrats du web, a tenté de régler le problème en imposant aux personnes fréquentant les cybercafés de présenter leurs cartes d’identité au gérant dans l’objectif d’avoir une traçabilité. Au Kenya, une cellule semblable à celle qui a été lancée en Côte d’Ivoire devrait bientôt voir le jour selon les dires du directeur des poursuites pénales Keriako Tobiko.
« Tant que les états africains n’offriront pas de chemins de sortie adéquats pour les jeunes africains sans emploi, ils seront toujours tentés de s’adonner à des activités illégales. » a présagé M Hill Stephen expert en Cyber-sécurité. Il soutient que toutes ces actions ne serviront à rien si les gouvernements ne proposent pas des solutions aux forts taux de chômage chez les jeunes sur le continent africain. « Avant, ces jeunes étaient dans les rues avec des canifs, aujourd’hui ils sont derrière des écrans d’ordinateurs avec des webcams« .

Les TIC dans l’éducation

Les technologies de l’information et de la communication (TIC) peuvent contribuer à l’accès universel à l’éducation, à l’équité dans l’éducation, à la mise en œuvre d’un apprentissage et d’un enseignement de qualité, au développement professionnel des enseignants ainsi qu’à une gestion, une gouvernance et une administration de l’éducation plus efficaces.  
L’UNESCO a une approche holistique et globale de la promotion des TIC dans l’éducation. L’accès, l’inclusion et la qualité sont quelques-uns des défis qu’elles peuvent relever. La plate-forme intersectorielle de l’Organisation pour les TIC dans l’éducation s’intéresse à ces questions dans le cadre des efforts conjoints déployés par trois de ses secteurs : la communication & l’information, l’éducation et les sciences.
Le réseau mondial de bureaux, instituts et partenaires de l’UNESCO fournit des ressources aux États membres qui leur permettent d’élaborer leurs politiques, stratégies et activités liées aux TIC dans l’éducation. En particulier, l’Institut de l'UNESCO pour l'application des technologies de l'information à l'éducation (ITIE), établi à Moscou, est spécialisé dans l’échange d’informations, la recherche et la formation relatifs à l’intégration des TIC dans l’éducation, alors que le Bureau de l’UNESCO à Bangkok est très impliqué dans l’utilisation des TIC dans l’éducation en Asie et dans le Pacifique.

dimanche 19 janvier 2014

Microsoft annonce la fin du support de Microsoft Security Essential pour Windows XP Le 8 avril 2014

Plus que 3 mois avant la fin du support de Windows XP par Microsoft. Dans un communiqué de presse, la firme avait déclaré qu’elle arrêterait la prise en charge de son célèbre système d’exploitation, vieux de douze ans, le 8 avril prochain. 

S’alignant sur ce calendrier, Microsoft vient d’annoncer qu’à partir de cette date, les mises à jour de son utilitaire de sécurité « Microsoft Security Essential » (MSE) ne pourront plus être téléchargées sur Windows XP. Même la version de base ne sera plus disponible. Une nouvelle qui, pour Microsoft, inciterait les entreprises à abandonner l’OS pour les versions les plus récentes, telles que Windows 8 ou 7.

Selon Bernard Ourghanlian, Windows XP est « six fois plus susceptible d’être infecté par un malware que les autres OS Microsoft ». Selon les derniers chiffres de NetApplications, plus d’un quart des fidèles à Windows utiliseraient encore Windows XP, malgré les préventions de Microsoft sur les risques de sécurité de l’OS. 

Pour Microsoft, offrir des mises à jour d'applications pour un OS qui n’en bénéficie plus lui-même pourrait donner un faux sentiment de sécurité aux utilisateurs. Un avis qui n’est pas partagé par Google et Mozilla, qui continueront à fournir des mises à jour pour Chrome et Firefox après avril 2014. 

Les entreprises sont donc plus que prévenues des risques qu’elles encourent si éventuellement elles ne migrent pas vers les versions récentes de Microsoft Windows.

Source : Microsoft

Des chercheurs du MIT créent KLOS Un puissant algorithme de parcours de graphes non orientés

Qu’est ce qu’un graphe ? Des points et des lignes. En tout cas, c’est la réponse que donnerait n’importe quel profane s’il était mis en présence de cette structure simple, mais puissante, dont les applications tant en génétique qu’en informatique sont légions.

La méthode de compression des fichiers au format Zip créée par l’américain David Huffman en 1952 est une application de la théorie des graphes. On peut également citer l’algorithme de recherche du plus court chemin proposé par le néerlandais Edgser Dijkstra, algorithme très employé dans le domaine des réseaux informatiques, où son utilité permet aux routeurs de déterminer le plus court chemin que doit emprunter un paquet pour atteindre sa destination.

Les graphes sont omniprésents en informatique. Leur origine est associée aux travaux du mathématicien Leonhard Euler en 1736, mais ils sont cependant très discrets. Combien sont-ils au courant de leur existence, alors qu’ils sont quotidiennement employés ?

Il n’est donc pas surprenant que le tout nouvel algorithme des chercheurs du MIT n’attire lui non plus l’attention, autant que le ferait la sortie d’un tout nouveau smartphone comme l’iPhone 5s par exemple.

Les travaux des chercheurs du MIT ont en effet porté sur la création d’un nouvel algorithme de parcours de graphe, dont l’évolution est quasi linéaire. Ils l’ont sobrement baptisé « KLOS algorithm », en l’honneur des chercheurs qui lui ont donné naissance (Jonathan A. Kelner, Yin Tat Lee, Lorenzo Orecchia et Aaron Sidford).

KLOS est présenté comme l’algorithme de parcours de graphe le plus abouti à l’heure actuelle. Il serait plus performant que les algorithmes de flot maximum (max flot) connus. KLOS sera présenté au cours du symposium sur les algorithmes discrets qui se tiendra à portland cette semaine.

Existe-t-il déjà des bibliothèques d’implémentation de KLOS ? Aucune à l’heure actuelle. Les développeurs sont appelés à être patients, car ça ne saurait tarder.

Source: Rapport de recherche PDF

Et vous ?

Highcharts 3.0.8 : créez des graphiques complexes et interactifs pour vos applications Web Avec cette bibliothèque HTML5 / JavaScript


Highcharts est une bibliothèque graphique écrite en HTML5 et JavaScript, offrant des graphiques complets et complexes mais intuitifs et interactifs pour votre site ou votre application Web. Elle implémente différents types de graphiques (colonnes, lignes, aires, camemberts, nuages de points, etc.).

La version 3.0.0, sortie il y a quelques temps, proposait des améliorations visuelles et une meilleure interaction avec les outils tactiles.

  

 Démonstrations.

La révision 3.0.8 amène une série de corrections et quelques ajouts. De plus, elle supprime certains éléments non compatibles avec tous les navigateurs. Vous y trouvez par exemple :
  • la suppression de certaines propriétés inutiles dans pom.xml ;
  • l'amélioration des chevauchements à plusieurs niveaux ;
  • l'ajout de la gestion white-spacenowrap pour les textes SVG ;
  • une correction concernant l'affichage d'arcs non désirés (VML) ;
  • le support du multi-touche pour IE 10 et 11 ;
  • l'ajout d'un format par défaut pour la date dans headerFormatter ;
  • des améliorations de performance en jouant avec le cache ;
  • l'ajout de l'option global.timezoneOffset pour permettre de paramétrer quelle zone (timezone) utiliser même si les données en entrée sont définies en UTC ;
  • etc.

 Téléchargement.
 Documentation.

Ubuntu 12.04 plus sécurisé que Windows et MacOS D'après une étude du CESG sur 11 systèmes d'exploitation

GNU/Linux a ces derniers temps le vent en poupe, vous avez pu lire dernièrement que la ville de Munich avait fait un bilan positif de sa migration vers GNU/Linux.

En France également, on aime bien l'opensource. C'est notre gendarmerie nationale qui envisage de migrer son parc informatique sous Ubuntu après avoir fait le choix d'abandonner Microsoft Office au profit de ses équivalents open source (openoffice et thunderbird).

C'est au tour du gouvernement britannique de donner de l'eau au moulin du manchot: à travers le CESG*, elle a publié un rapport concernant la sécurité des différents OS du marché.

Comparant ainsi 11 systèmes d'exploitation mobiles et d'ordinateur à travers 12 catégories comme VPN, le chiffrage du disque et l'authentification.
Elle attribue la première place à l'OS de Canonical Ubuntu 12.04.


Vous pouvez retrouver le détail des rapports de chaque OS ici:
https://www.gov.uk/government/collec...ty-guidance--2

vendredi 17 janvier 2014

« L'Inforkéologie » ou l'art de travailler avec des langages obsolètes Avez-vous travaillé sur un projet utilisant des technologies dépassées ?

L'inforkéologie est un terme que j'ai inventé avec des collègues. Il s'agit donc d'un néologisme. Il permet de désigner l'analyse, l'étude ou le travail sur des technologies obsolètes et/ou bâtardes.

Ce terme a vu le jour après un certain temps passé pour des clients sur des langages « périmés ». En effet, la technologie utilisée la plus récente datait de plus de 15 ans. Ne parlons même pas de la technologie la plus vieille.

Après de nombreuses discussions entre collègues, l'étymologie du terme a germé. Fort de constater que nous travaillions sur des langages, qui aux yeux de l'histoire informatique remontaient à la préhistoire, nous sommes partis sur l'idée que nous faisions de l'archéologie informatique. Le terme initial était alors né: inforchéologie.

Puis par la suite, nos périmètres ayant évolué chez nos clients respectifs, et étant amenés à travailler sur des langages maison dérivés de langages officiels, ne respectant aucune norme voire violant tout ou partie des anti-patterns, le terme a évolué peu à peu en inforkéologie.

Désormais, nous qualifions ainsi le fait de travailler sur des machines vieilles de plusieurs décennies, des langages maison plus ou moins absurdes, ou encore des SI complets maison, ne respectant aucune norme et ne disposant d'aucune documentation quelle qu'elle soit.

Et vous:
 Vous sentez-vous l'âme d'un inforkéologue?

Le marché du PC écrit la pire page de son histoire en 2013

L’année 2013 s’est achevée, et avec elle, s’est fermée l’une des pires pages de l’industrie du PC.

Les chiffres ont été rouges pendant toute l’année 2013, et le dernier trimestre n’a été guère reluisant avec des ventes qui ont reculé de 7 %.

Gartner et son confrère IDC ont publié comme il est de coutume en début de chaque trimestre, les chiffres sur le marché mondial du PC.

Selon le cabinet d’analyse IDC, le marché du PC depuis près de sept mois s’enfonce dans un énorme gouffre, et la sortie de Windows 8.1 en octobre dernier, ainsi que la période des fêtes de fin d’année n’ont pas réussi à contenir la baisse des ventes.

Gartner et IDC s’accordent sur une baisse globale de ventes de près de 10 % en 2013, par rapport aux chiffres d'il y a un an, passant de 33,6 millions d’unités vendues en 2012 à 24 millions l’an dernier. L’industrie du PC fait ainsi face à la plus forte baisse annuelle jamais enregistrée.

Côté constructeurs, Lenovo parvient, malgré les mauvais chiffres, à augmenter ses ventes dans le monde entier en 2013. Selon nos deux cabinets d’analyse, le constructeur asiatique est désormais leader du marché du PC avec une part de 17,1 % (en hausse de 2,7 %), devançant HP, dont la part plonge de 10,3 % (16,6 % en 2013).

Dans le top 5, tous les constructeurs ont enregistré des chutes vertigineuses, à l’exception de Lenovo.


Chiffres IDC

Selon IDC et Gartner, 2013 marque la fin de la période la plus sombre pour l’industrie du PC. 2014 devrait être plus reluisant. « Une variété de nouveaux facteurs tels que les ordinateurs portables hybrides ont attiré l’attention des consommateurs en fin d’année, mais la taille du marché était très petite. La baisse des prix et la sortie des produits plus fins ont commencé à encourager le remplacement des PC et ouvriront la porte à une croissance du PC en 2014 », estime IDC.

Sources : IDCGartner

Le site web du MIT à nouveau piraté par Anonymous Pour rendre hommage à Aaron Swartz le jour de l'anniversaire de son décès

Le 11 janvier dernier, le site web du MIT (Massachusetts Institute of Technology) a été la cible d'un nouveau piratage orchestré par Anonymous. Tous les internautes ayant essayé de se connecter à la page web de la célèbre université américaine ont été redirigés vers un autre site, www.thedaywefightback.org avec l'inscription "The Day We Fight Back" (Le jour où nous retournons au combat).

Le mouvement Hacktiviste, par cette action, entend rendre hommage à Aaron Swartz, un hacker de 26 ans qui s'est donné la mort le 11 janvier 2013 pour ne pas comparaitre devant les tribunaux qui devaient le juger pour des accusations de piratage du réseau MIT.

Le jeune pirate encourait à l'époque plus de 30 ans de prison et 4 millions de dollars d’amende pour avoir piraté et dérobé près de 5 millions de documents académiques du MIT et du site de Jstor. Cette nouvelle attaque d'Anonymous semble être la première d'une longue liste d'actions pour commémorer l'anniversaire du décès d'Aaron.

Des hommages ont été rendus aussi sur les réseaux sociaux, notamment sur Twitter à travers le tweet de @OpLastReport: "Nous avons décidé de pirater encore le MIT pour rendre un second hommage à Aaron Swartz". La première attaque de la page web du MIT avait eu lieu quelques jours après le suicide d'Aaron.

Les parents du hacker, désorientés par la situation, avaient fait de fortes déclarations après le drame, accusant le MIT et son département de justice d’avoir contribué au suicide de leur fils.

On pouvait lire ce 11 janvier sur le site www.thedaywefightback.org, ce message posté par Anonymous : "Aujourd'hui nous sommes confrontés à une menace différente, qui porte atteinte à l'Internet et à l'idée que chacun d'entre nous vive dans une société véritablement libre : la surveillance de masse. Si Aaron était vivant, il serait sur la ligne de front, la lutte contre un monde où les gouvernements observent, recueillent et analysent chacune de nos actions numériques."

Dans le cadre de cette lutte, une journée de protestation contre la surveillance de masse aura lieu le 11 février prochain.

Sources : The Day We Fight BackTwitter OpLastResort

Un étudiant en thèse crée Higgs Un compilateur JIT JavaScript prometteur, développé en D

 par Cedric Chevalier, Chroniqueur Actualités
Même s’il est vrai qu’il existe de nombreux moteurs JavaScript sur le marché, l’abondance n’a jamais nuit à quiconque.

Pour tous ceux qui ont toujours rêvé de contribuer à un projet Open Source, il n'est pas encore trop tard. Si l’ensemble des projets libres proposés par la Free Software Foundation est insuffisant, il existe Higgs.

Qu’est ce que Higgs ? Il s’agit d’un JIT (Just in time compiler) de JavaScript pour les plateformes X86-64. Higgs est le projet d’un étudiant en thèse de conception de compilateur de l’université de Montréal, répondant au nom de Maxime Chevalier-Boisvert.

Développé en utilisant le langage de programmation impératif orienté objet D, Higgs repose sur des techniques novatrices qui pourraient permettre au compilateur à terme d’éclipser V8 de Google ou encore IonMonkey de Mozilla en performance.

Higgs est un très jeune projet, par conséquent beaucoup reste encore à faire. Bien qu’il prenne en charge une grande partie du standard JavaScript ES5, Maxime a beaucoup d’ambition pour son projet. Il voudrait doter Higgs d’un environnement de développement intégré simple, facile à prendre en main, intuitif et puissant, qui donne la possibilité aux développeurs de coder du JavaScript en dehors des navigateurs.

L’utilisation de Higgs comme machine virtuelle JavaScript est un acquis, même si présentement il ne peut faire le poids côté performance face à la concurrence sur le marché (V8, IonMonkey), Maxime n’en demeure pas moins convaincu que ce sera possible à long terme.

Une bibliothèque d’interfaces avec le langage C baptisée « FFI Library » est déjà disponible. Elle est le fruit de la contribution de Tom brasington. Toute contribution est la bienvenue. Higgs étant Open Source, toutes les formes de contributions aux projets Open Source s’y appliquent. Rendez-vous sur le GitHub officiel du projet, donc.


mercredi 15 janvier 2014

Midori : Microsoft développerait un autre OS basé sur un nouveau microkernel Avec le langage de programmation M#

par Hinault Romaric, Xavier Amon
Derrière le langage de programmation qui pourrait porter le nom de M# (M Sharp), dont nous avons présenté les spécificités ce matin, se cacherait un nouveau système d’exploitation qui aurait pour nom de code « Midori ».

Selon un article de Mary Jo Foley, déjà à l’origine de plusieurs indications sur les produits Microsoft, qui se sont révélées justes, le projet Midori développé avec le langage M#, aurait franchi un nouveau cap.

Initié en 2008, « Midori » serait un système d’exploitation « non Windows », avec pour objectif de mettre à la retraite le noyau Windows NT, dont l’architecture serait datée, pour repartir sur la base d’un nouveau microkernel.

Midori tirerait sa source du projet « Singularity OS », un microkernel développé par de petites équipes de Microsoft Research entre 2003 et 2010. Désormais, Midori serait plus qu’un projet de recherche, d’après Mary Jo Foley. Le projet aurait été déplacé au sein de l’unité OS de Microsoft, dirigé par Terry Myerson, qui s’occupe notamment de Windows et Windows Phone.

En s’appuyant sur M#, qui serait un « langage de plus bas niveau se trouvant tout en bas de la pile », offrant un meilleur équilibre entre performance, sécurité et productivité, Midori sera non seulement plus sécurisé que Windows, mais également plus performant et réduira les incompatibilités logicielles.

Pour l’instant, aucune de ces informations n’a encore été confirmée par Microsoft.

Source : ZdNet.com

L'ordinateur de demain apprendra de ses erreurs Des chercheurs présentent une nouvelle génération de puces « intelligentes »

par Stéphane le calme, Xavier  Amon
Larry Smarr, astrophysicien qui dirige l'institut californien des technologies des télécommunications et de l'information, voudrait révolutionner le monde de la technologie avec une nouvelle génération de puces. Leur fonctionnement est en grande partie calqué sur celui du système nerveux biologique, en particulier la façon dont les neurones réagissent aux stimuli et s'interconnectent pour interpréter l'information.

Avec cette nouvelle approche, les chercheurs espèrent qu'à l'instar de l'homme les ordinateurs soient capables d'apprendre de leurs erreurs. « Nous passons de la conception de systèmes informatiques à quelque chose qui a beaucoup à voir avec de l’informatique biologique » a expliqué Smarr dans une interview accordée au NYT.

Jusqu'à présent, le CPU de l'ordinateur a été conçu pour un traitement en binaire de l'information. Les nouveaux processeurs, qui restent des puces en silicium, sont connectés entre eux afin de se comporter comme des synapses. Ils sont appelés processeurs neuromorphiques parce qu'ils forment des groupes de « neurones ». « Les connexions entre ces puces sont « sous-pesées » en fonction des corrélations de données que les processeurs ont déjà « appris ». » affirme Smarr. Par la suite, ces éléments sont modifiés en flux de données dans la puce. Un signal sera alors généré et va se propager à d'autres composants et, en réaction, changer en conséquence la programmation des prochaines actions. Ce qui revient à dire que cette évolution programme les prochaines actions du «cerveau informatique » comme les « informations modifient les actions et pensées humaines ».

Ces nouvelles puces pourraient ainsi tolérer une erreur de programmation, humaine ou matérielle, et ainsi éviter les contrariétés dues à l'usage intensif de l'informatique comme les plantages. Les premiers processeurs, capables d'apprendre des erreurs, seront commercialisés au courant de l'année 2014. Précisons néanmoins que leurs capacités resteront limitées et ils consommeront beaucoup d'énergie.

Dans les prochaines années, cette approche devrait aboutir à la création d’une nouvelle génération d’intelligence artificielle qui devrait effectuer des tâches que l'homme fait en général de manière aisée comme voir, parler, écouter, se déplacer, manipuler et contrôler des objets. De telles avancées pourraient profondément changer la reconnaissance vocale ou faciale.

Mais les américains ne sont pas les seuls. Une équipe de chercheurs du Tokyo's Institute of Industrial Science travaille elle aussi au développement d'un concept appelé neuro-computer ; un ordinateur basé sur le fonctionnement des cellules du cerveau humain. L'objectif de l'équipe est de créer des fonctions semblables à celles du cerveau en connectant plusieurs circuits électriques pour former un réseau de neurones.

La puce électronique développée mesure 2cm carré. Dans son cœur, un circuit intégré spécialement conçu par l'équipe, composé de transistors, de capacités et de circuits analogiques. Contrairement aux circuits digitaux qui traitent les signaux électriques comme des états 0 ou 1, les circuits analogiques les traitent en continu en fonction de leur puissance. L'amplitude du signal de sortie de la puce électronique peut varier en fonction de l'entrée. Ces circuits permettent ainsi un traitement du signal se rapprochant de celui effectué par les neurones dans notre cerveau.

Pour le professeur Takashi Kohno, qui dirige l'équipe, si leurs travaux aboutissent comme ils l'espèrent, cela permettra d'avancer sur la compréhension des mécanismes du cerveau et, ainsi, comprendre les émotions et pouvoir traiter les maladies comme la dépression.

Source : NYT

dimanche 12 janvier 2014

Skype hacké par l'Armée électronique syrienne Ses comptes Twitter, Facebook et son blog officiel piratés pour dénoncer l'espionnage de la NSA

Skype hacké par l'Armée électronique syrienne
ses comptes Twitter, Facebook et son blog officiel piratés pour dénoncer l’espionnage de la NSA


Ce matin, l’équipe de Skype annonçait sur leur compte Twitter : « Vous avez peut-être remarqué qu'aujourd'hui, nos comptes sur les réseaux sociaux ont été attaqués. Aucune information sur les utilisateurs n’a été compromise. Nous sommes désolés pour la gêne causée ». Aussitôt constaté, le message ne figurait plus dans l’historique des tweets.

Jusqu’au soir de mercredi passé, premier jour de l’an, le blog officiel de Skype était inaccessible. Les pirates en question ont, en effet, pris possession des pages Twitter, Facebook et le blog officiel de Skype.

L’un des messages suspects publiés sur le compte Twitter de Skype était suivi d’un hashtag #SEA qui signifie Syrian Electronic Army. Le message publié était visiblement une mise en garde des internautes contre Microsoft Inc. : « N'utilisez pas les emails de Microsoft (Hotmail, Outlook), ils surveillent vos comptes et vendent les données aux gouvernements. Plus à venir #SEA ». La dernière phrase du message montre clairement que les pirates sont décidés à mener plus d’attaques.


Pour mémoire, la SEA avait attaqué un fournisseur de noms de domaine en Australie en août dernier, une attaque qui a affecté le célèbre magasine New York Time.

Le message dénoncerait aussi les nombreux espionnages de la NSA, qui sont d’actualité depuis pas mal de temps et des demandes d’informations sur les utilisateurs faites par les gouvernements, parce que, par la suite, la SEA a posté : « Vous pouvez remercier Microsoft pour le suivi de vos comptes et de vos messageries électroniques ».


Source : Nbc News

Espionnage : introduction des backdoor par la NSA dans les produits de Cisco L'entreprise exprime son mécontentement et rassure ses clients

 par Faridsarl, Expert Confirmé Sénior
Ces derniers jours, la NSA n’a cessé de faire parler d’elle pour ses violations de la vie privée. L’agence de sécurité américaine est, en effet, un grand acteur dans le monde de l’espionnage informatique (Retrouvez le dossier complet de rédaction sur l’espionnage de la NSA). Beaucoup ont d’ailleurs déjà pris des décisions à propos de ses espionnages.

Pour dire que personne n’échappe à la NSA, c’est au tour d’Apple, Dell, Cisco et Huawei d’exprimer leur mécontentement vis-à-vis de la NSA. En effet, Der Spiegel parle d’un catalogue de 50 pages découvert il y a quelques années, révélant qu’une division de la NSA appelée ANT, pouvant infiltrer toute sorte de systèmes informatiques, fournit des techniques d’infiltration à un département spécial de la NSA dénommé TAO pour Tailored Access Operation. Cette division serait chargée d’installer des backdoor dans les appareils de nombreux constructeurs tels que Samsung, Apple, Western Digital, Seagate, Cisco System, Huawei, Dell pour ne citer que ceux-là.

Rappelons qu’une polémique avait été créée au sujet d’un éventuel backdoor dans les iPhone. Un sujet qu’Apple a nié et dit avoir réfuté toute collaboration avec la NSA. À l’époque, Apple avait rassuré ses clients qu’il les protégerait contre toute personne menaçant leur sécurité.

Cisco System n’est pas resté sans mot à propos ces allégations. C’est dans un billet de blog qu’il a tenu à rassurer ses clients : « Nous sommes profondément préoccupés par tout ce qui peut influer sur l'intégrité de nos produits ou les réseaux de nos clients […] Nous nous engageons à éviter les problèmes de sécurité dans nos produits. […)]Si nous apprenons une faille de sécurité dans l’un de nos produits, nous l’aborderons immédiatement ».

Quant à Dell ou encore Huawei, ils ont tous nié la connaissance d’une telle infiltration dans leurs produits.

Les révélations sur les programmes d’espionnage de la NSA pourraient avoir de lourdes conséquences sur les constructeurs américains, notamment Cisco, dont les produits pourraient être boycottés à l’extérieur du pays.

Source : Der Spiegel

Sortie de qooxdoo 3.5.0 Le framework JavaScript grandit et suit l'évolution du tactile


qooxdoo est un framework JavaScript basé sur le système de classes. Il est open source et permet le développement d'applications Web dites « riches » (RIA).


La version 3.5.0 est un autre jalon important dans l'évolution en cours de qooxdoo pour devenir un framework universel.

La partie orientée Web du framework s'agrandit d'une bibliothèque de widgets qui fournissent un ensemble de composants d'interface utilisateur légers prêts à être intégrés dans n'importe quel projet Web. Ils sont pensés de la même manière que leur parent qx.Website.
Chaque widget peut également être configuré à l'aide d'attributs HTML afin que la partie UI d'un site Web puisse être définie entièrement en HTML (générée par le serveur) et initialisé avec une seule ligne de JavaScript.
Pour l'instant, on y trouve les composants ButtonCalendarRatingSliderTabset Accordion. D'autres seront ajoutés prochainement, ce projet est d'ailleurs expérimental.

La partie mobile connait également plusieurs améliorations. Une des caractéristiques les plus difficiles dans un monde multiplateforme est de présenter les éléments à une échelle adéquate. C'est pourquoi qx.Mobile vous permet maintenant d'ajuster facilement l'échelle tout simplement en changeant la taille de police de la racine. En termes techniques, cela signifie que les unités relatives sont utilisées tout au long des thèmes au lieu d'unités en pixel.


Le framework est construit sur des thèmes à base de CSS et la technologie de précompilation SCSS. Il est ainsi aisé de modifier les styles et, pourquoi pas, de créer votre propre thème personnalisé.
Notons que pour suivre la tendance générale, un thème « Flat » a été conçu.

À côté de cela, le support d'IE 11 et Windows Phone 8 a été amélioré et ces derniers profitent d'un défilement offrant une expérience utilisateur beaucoup plus souple.
D'autres widgets ont été modifiés (liste complète) comme par exemple le Carousel et qooxdoo expérimente l'utilisation de GruntJS qui permet d'automatiser des tâches comme la minification du code, la compilation, etc.

 Télécharger les outils de qooxdoo.
 La documentation.
 L'article sur le site officiel.

IE8 demeure le navigateur le plus utilisé selon NetMarketShare Chrome 31 prend de la marge et Firefox 26 peine à suivre

 par Stéphane le calme, Chroniqueur Actualités
Comme il en a l'habitude, le cabinet NetMarketShare livre ses statistiques mensuelles sur les parts de marché de navigateurs. Toutes éditions confondues, IE se hisse au sommet de la pyramide avec 57,91% de parts de marché. Dans le détail, IE11 enregistre une forte croissance en passant de 3,27% à 10,42%. Bien qu'en légère baisse (-1,10 point) IE8 reste la version la plus utilisée et s'accapare de 20,64% des parts. IE10 conserve sa seconde place des versions IE les plus utilisées avec 11,05% de parts, IE9, IE7 et IE6 enregistrent respectivement 8,96%, 2,14% et 4,43%.


Firefox s'offre la seconde part la plus importante du gâteau avec 18,35%, qui représente une baisse mensuelle de 0,19 point. Firefox 25 reste la mouture la plus utilisée (7,48%) devant Firefox 26 (6,60%). Chrome quant à lui connaît une légère hausse et passe de 15,44% à 16,22%. Chrome 31, sa dernière version stable en date, reste la plus adoptée à 12,88% contre seulement 0,45% pour Chrome 30 et 2,89% pour des versions plus anciennes. Enfin Safari et Opera auraient enregistré de très légères baisses avec respectivement 5,82% et 1,33% de parts de marché.

Pour sa part, le cabinet StatCounter place Internet Explorer à 23,24%, loin derrière Chrome et ses 43,92%. Cette différence peut trouver une explication dans le retrait des données des internautes chinois qui sont, rappelons-le, les principaux utilisateurs d'Internet Explorer. Firefox s'offre la troisième place avec 18,95% des parts, Safari s'empare de 9,14% tandis qu'Opera se contente de 1,31%.

Net Applications dit s'appuyer sur des données prises sur 160 millions de visiteurs uniques mensuellement en gérant plus de 40 000 sites internet pour ses clients. StatCounter quant à lui dit s'appuyer sur 15 milliards de pages vues.

Source : StatCounterNetApplication

Et vous ?

Mozilla : nouveau report de Firefox Modern UI La sortie du navigateur pour Windows 8 renvoyée à mars 2014

Par Hinault Romaric, et avier Amon
Les utilisateurs de la nouvelle interface utilisateur Modern UI de Windows 8 et Windows 8.1, impatients d’utiliser Firefox devront encore attendre.

Visiblement, Mozilla aurait beaucoup de difficultés à mettre en place une version du navigateur pour ceux-ci. Une nouvelle fois, la sortie de Firefox Modern UI initialement prévue pour fin janvier a été reportée à mars 2014, probablement au même moment que la publication de Firefox 28.

Ce report s’expliquerait par le nombre important de bogues qui doivent être résolus avant une publication grand public du navigateur.


Mozilla avait commencé à travailler sur Firefox Modern UI depuis février 2012. L’organisme avait publié une préversion du navigateur en octobre 2012, et envisageait de sortir la version stable en janvier 2013. À cause de plusieurs problèmes de conception, la sortie du navigateur a été repoussée au 10 décembre 2013, puis en fin janvier 2014.

Une préversion du navigateur est néanmoins disponible sur le canal Aurora depuis fin septembre 2013. Parmi ses nouveautés phares, on note la possibilité de partager un seul profil avec la version Desktop, la prise en charge du « glisser/déposer » avec le toucher, l’introduction d’une interface épurée qui fait disparaitre la quasi-totalité des éléments encombrants pour des boutons simples pour l’ouverture d’un nouvel onglet et le retour en arrière.

Par ailleurs, Mozilla a annoncé qu’il a repoussé les dates de sortie de l’ensemble des versions de Firefox de deux semaines, afin que les membres de ses équipes de développement puissent profiter de la période des fêtes de fin d’année. Firefox 27 qui était initialement prévu pour le 21 janvier a été reporté au 4 février.

Source : Wiki Firefox Metro